Scénario pour Jung Bunzlau 1866
Aujourd'hui, je vous présente le scénario n°2 de "Mon projet à moi que j'ai - Battle-Cry 1866, ou la Guerre de Sept Semaines", à savoir le combat de Jung Bunzlau du 25 juin 1866 au début de la campagne. J'ai évoqué ce combat dans mon article sur la brigade Poschacher du 24 avril dernier.
C'est un petit scénario destiné à se faire une partie très rapide, à "se chauffer" en début de campagne car j'ai concocté vingt-quatre scénarii comme je l'ai précédemment dit. Ils sont plus ou moins long à mettre en place et à jouer, le "must" étant Sadowa en milieu de campagne où là, il y a du monde et des années seront nécessaires à peindre l'ensemble des troupes présentent. Un véritable défis peinturluristique !
Il y a un mode "scénario" et un mode "campagne" de prévu, chaque scénario pouvant se jouer indépendamment mais permettant aussi de rapporter des points pour la campagne.
Les étoiles près des images des généraux sont le nombre de brigades adverses à éliminer pour remporter le scénario.
En vert foncé, les forêts, en vert clair les collines, en vert d'eau la plaine, en rouge l'urbanisation, les rivières en traits bleus et en marron les routes, les fortifications/barricades/obstacles en traits discontinus marrons, les ponts en noir. Les prussiens en bleus, les autrichiens en jaunes et les saxons en vert.
Un pion représente une brigade d'infanterie ou de cavalerie (4 à 7 plaquettes en moyenne) ou d'artillerie (1 à 3 plaquettes).
Bon, c'est du fait maison, n'hésitez pas à donner un avis ou faire des suggestions. Je me tâte d'ailleurs - pour les scénarios à jouer seuls en dehors de la campagne - à doubler les effectifs sur le terrain, pour que cela ne soit pas trop... expéditif. Les joueurs qui ont d'ailleurs l'expérience des systèmes de jeux de Richard BORG sont invités à donner leur avis.
Fiche de jeu "maison" avec les différentes capacités des troupes et effets de terrains
Pour finir, un clin d'oeil. Deux petits clichés des oeuvres d'un pote émigré là où cela sent le raisin, le canard confit, le pin et l'iode de l'océan... veinard. Il bosse très bien, et comme souvent avec ce type d'artiste, il est lent, très lent, hein Otto ? En même temps quand on émigre là bas, faut s'adapter au rythme local... quoi, qu'en matière de maquettisme l'a toujours été lent le guss, disons que cela risque d'empirer encore le phénomène MOUHAHAHAHA !
Et oui, se sont les avions qui l'intéresse lui, il aime s'envoyer en l'air le filou.
Ludiquement vôtre.
Rittmeister von Fabritz