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Les figurines du Prince Fafa
16 août 2023

Europa Universalis à huit, tour 5

Le tour 5 (1510-1514) de cette partie entammée à la rentré dernière c'est achevé en juillet, une pause à cause des congés des participants s'est imposée.

 

Image boîte EU

 Europa Universalis

Almanach

Période 1492 - 1519

Tour 5 (1510-1514)

 

Phase des monarques :

 

Henri VIII apparaît et cela change donc l’ordre d’initiative du tour, il se place avant Louis XII, l’ordre d’initiative devient le suivant :

 

  1. POLOGNE et Sigismond Ier
  2. PORTUGAL et Manoel Ier
  3. RUSSIE et Vassili III
  4. ANGLETERRE et Henri VIII
  5. FRANCE et Louis XII
  6. TURQUIE et Bayezid II
  7. VENISE et Loredano
  8. ESPAGNE et Ferdinand

Je vais envoyer à l’anglais, sa nouvelle Feuille de liaison diplomatique avec la tête d’Henri VIII, ainsi que les facteurs ADM, DIPL, MIL et sa valeur de général.

 

Phase d’Evènements :

Evènement économiques :

POLOGNE : « Boom économique » les prix de certaines ressources exotiques augmente, suite à une forte demande en Europe. Peaux augmentent d’un palier, Esclaves et Epices de deux paliers, Produits d’Orient trois paliers. Que les joueurs modifient le prix de la valeur des ressources exotiques en ligne B21 du Tour 5 : coton, tabac et sucre 0, esclaves 4, pêche 1, peaux 4, épices 5, produits d’Orient 6. Que le joueur portugais modifie bien les prix des ressources exotiques de ses colonies/comptoir pour ce tour-ci.

PORTUGAL : « Redressement » Manoel Ier cède à la pression pour redresser la situation. Le joueur portugais choisit entre 3 options : payer sans surcoûts les forces terrestres jusqu’au triple de la limite de coût normal, ou augmenter sa construction de navires de 50% ou obtenir un +5 à l’action d’amélioration de la Stabilité. Le roi du Portugal choisit les forces terrestres.

RUSSIE : « Vente de charges honorifiques » lancer un dé 100, le produit de ces ventes est placé directement dans le TR : 38 Ducats sont à placer en ligne G7 de la Fiche budget par Vassili.

ANGLETERRE : « Offre d’Alliance » Henri VIII reçoit un +3 en diplomatie pour une action sur un mineur de son choix.

FRANCE : « Réfugiés » Louis XII reçoit une mise forte gratuite pour une action d’implantation de Flotte commerciale (qui ne peut cependant se cumuler avec une autre action en mise forte, sur la même ZM/ZP). De plus, il reçoit un +2 pour l’implantation d’un niveau de Colonisation, ainsi qu’une action de Colonisation supplémentaire en plus de sa limite de période ce tour, ou tout autre tour de la période 1492-1519.

TURQUIE : « Percée technologique » Bayezid II avance de deux cases en technologie terrestre ou navale.Il choisit la terrestre et passe donc au niveau 13, entraînant le palier « Islam » en niveau 8. Que le turc actualise la case D12 de sa Fiche pays.

VENISE : « Enthousiasme pour l’armée » le doge Loredano reçoit 15 infanteries et 5 cavaleries gratuitement ou avance d’une case sa technologie terrestre. Loredano choisit la technologie terrestre, qui passe donc au niveau 7. Que le vénitien actualise la case D12 de sa Fiche pays.

ESPAGNE : « Enthousiasme pour la marine » Ferdinand touche gratuitement 10 Navires (ou 30 Galères) ou avance sa technologie navale d’une case. Le roi d’Espagne choisit le DN placé à Cadix.

 

Evènements secrets :

Ils vous sont communiqués secrètement par l’arbitre et sont à conserver, jouable quand vous le désirez.

 

Evènements politiques :

  1. Evènement politique N°4 « Deuxième Guerre d’Italie ».

Je vous joins l’évènement qui est à lire.

Louis XII et Ferdinand acceptent l’évènement tous les deux, le royaume de France possède donc un CB contre le possesseur de MILANO à jouer ce tour ou au tour prochain (1514-1519).

  1. Evènement diplomatique : « Révolte et Diplomatie ».

En POLOGNE, une révolte (-) apparaît en PODLASIA, que le joueur polonais note le revenu de la province en moins en G17 de sa Fiche budget.

Tout d’abord il apparaît des « Tensions religieuses » : tous les mineurs catholiques ont un +3 à leur test de fidélité. Les testés sont : l’ECOSSE, la HESSE, ASTRAKHAN, le SAXE, les CHEVALIERS, la TOSCANE.

Un dé 7 et un dé 2 sortent = 9. Si le résultat se trouve être supérieur à la fidélité, le mineur passe en case « les Neutres ». L’ECOSSE subit un +3 soit 12, sa fidélité (chiffre en rouge à droite sur le pion) étant de 13, rien mais de justesse. La HESSE ne bouge pas non plus, sa fidélité est à 7 et elle est protestante, donc pas de malus, Henri VIII tient bien ses mineurs !

La TOSCANE est à 7 (9+3 car catholique = 12) et se voit repasser en neutre ! Le doge pense à massacrer dans son intégralité la noblesse toscane si versatile… Qu’il modifie sa fiche pays en conséquence.

ASTRAKHAN reste en place, sa fidélité est de 14.

  1. Evènement diplomatique : « Révolte et Diplomatie ».

Une révolte (+) apparaît en France, en DAUPHINÉ.

Cette fois, ce sont la SAVOIE, BERG, TRIPOLITAINE, THURINGE, STEPPES et MAMELOUKS qui sont testés.

Un dé 7 et un dé 4 sortent = 11. La SAVOIE est à 9, donc 11+3 (catholique) = 14, elle repasse en neutre ! Ah les princes italiens de la Renaissance sont magnifiques, voir machiavéliques ! Que Louis XII modifie sa Fiche pays en conséquence.

Les MAMELOUKS passent en neutre aussi… Le joueur vénitien perd le contrôle indirect des MAMELOUKS, ce contrôle lui est soumis à nouveau et il en reprend le contrôle.

Phase Diplomatique :

 

Négociations entre joueurs :

Négociez !

 

Déclarations d’alliances, guerres, refus de commercer :

   

Louis XII utilise le Cassus Belli touché lors de l’évènement Seconde Guerre d’Italie, contre le possesseur de la province de MILANO, à savoir Ferdinand d’ESPAGNE. La FRANCE déclare la guerre à l’ESPAGNE et voit sa Stabilité baisser d’un niveau, passant en case 2.

La Guerre est circonscrite au territoire italien, tant qu’un belligérant ne la généralise pas. Les forces françaises se voient autorisées par le duc de SAVOIE à passer sur son territoire lors de ce tour de jeu 1510-1514, le ravitaillement est cependant impossible à partir d’une zone, dont la cité est assiégée. Si un ennemi de la FRANCE envahit une province française, ou celle d’un allié français, la guerre est immédiatement généralisée et la restriction à l’Italie immédiatement levée pour les deux camps. L’ennemi perd 5 PV.

250 ducats sont enlevés du DCE de tous les joueurs, le temps de la durée de la guerre. Vous enlevez tous les huit 250 ducats de la base de calcul du DCE, en case C127 du tour 5.

 

VENISE signe un traité d’Alliance de Prêt avec la RUSSIE. Attention, si l’emprunteur rompt le traité, cela entraîne la perte d’un niveau de Stabilité et un -2 au prochain tirage de prêt sur la Table des prêts. Un don est fait à la POLOGNE car une Alliance-prêt est déjà en cours entre ces deux nations.

Que Sigismond Ier et Vassili III placent la somme reçue en cellule H17 du Tour 5. Pour Vassili III, qu’il remplisse la cellule I38, K38, L38… de la somme qu’il devra rembourser au vénitien du Tour 6 au Tour 15 (période suivante, il faudra reporter ça sur la Feuille de jeu 1520-1559).

Appel aux alliés mineurs :

    

Sigismond Ier appelle le royaume de HONGRIE de Vladislas II Jagellon - son cousin - dans son conflit avec l’empire ottoman. Un dé 5 sort pour le test d’entrée en guerre des mineurs contrôlés en ligne 105 de la Fiche diplomatie de votre Feuille de jeu, +3 (contrôle en « EG » Entrée en Guerre) +2 (voisinage) = 10. La HONGRIE rejoint la POLOGNE. Sigismond a pris un risque mais qui a payé, en cas d’échec de cette seconde tentative (il y avait eu un appel au tour précédent), la HONGRIE passait en neutre.

Vassili III n’appelle pas le khan de KAZAN ni le voïvode de MOLDAVIE.

 

Louis XII appel la République de GËNES, laissant le duc de LORRAINE à ses affaires. Un dé 2 sort pour Gênes sur le tableau test d’entrée en guerre des mineurs contrôlés -4 (même religion) +2 (voisinage) +3 (vassal) = 3. Les génois restent neutres.

La TURQUIE n’appelle personne, préférant ne pas prendre le risque de perdre son influence diplomatique sur des états qui ne lui serait pas forcément utiles dans le conflit.

 

Côté Ferdinand, L’ESPAGNE appelle les HABSBOURG et la PAPAUTE. Un dé 8 sort pour les premiers +1 (bonus pour l’Espagne) +3 (pour le contrôle en « Entrée en Guerre ») -4 (même religion) = 8. L’empereur du Saint-Empire-Romain-Germanique entre donc en guerre aux côtés du roi d’Espagne.

 

Pour sa Sainteté le Grand pontife, un dé 5 sort +3 (contrôle diplomatique en « vassal ») -4 (même religion) = 4. Le pape Jules II reste neutre.

 

Résolution des actions diplomatiques :

Sur les mineurs neutres :

La POLOGNE de Sigismond n’exerce aucune influence tandis que le PORTUGAL fait de même, Manoel Ier n’envisage rien, tout comme Vassili III.

 

Henri VIII quant à lui est fraîchement arrivé sur le trône d’ANGLETERRE, il tente une action sur le HANOVRE. Il passe ce mineur en « Entrée en Guerre », l’Allemagne commence à être sous forte influence anglaise à la grande satisfaction du jeune et ambitieux souverain.

 

Louis XII exerce son influence sur la SAVOIE et tente de faire entrer les cantons suisses dans la guerre à son profit. Un dé 3 donne un échec à cette tentative. Pour ce qui concerne la SAVOIE, le duché italien passe en « Entrée en Guerre », si la guerre d’Italie se prolonge, ce sera une option intéressante d’avoir le duc Charles III à ses côtés.

Bayezid n’exerce aucune influence sur un mineur neutre.

 

Le doge retente sur la TOSCANE. Cette dernière passe en « AM ».

 

Ferdinand d’Espagne tente une action sur HELVETIA, un dé 3 sort, les suisses ne sont donc pas chaud pour entrer dans la seconde guerre d’Italie, du coup, pas de dépense des 50 Ducats pour les espagnoles ni les français d’ailleurs.

 

Sur les mineurs contrôlés :

La plupart des souverains ne tentent pas d’augmenter leur influence sur leurs mineurs, seul l’empire ottoman de Bayezid II se tourne vers Al DJAZAÏR qu’il vassalise.

 

Que les joueurs mettent donc leur Table des actions diplomatique à jour, surtout les dépenses en soutien et mise pour qu’elles soient bien comptabilisées dans la Fiche budget. Que la ligne B16 de la Fiche pays soit également modifiée en conséquence.

 

Phase de revenus :

 

Les joueurs effectuent le calcul de leurs revenus pour la période 1510-1514 et effectuent les copier-coller du Tour 4 au Tour 5 (tableaux figurant dans la partie vert clair de la feuille) en prenant en compte toutefois, les modifications survenues à la phase administratives précédentes et qui normalement figurent déjà dans la feuille du Tour 5.

Vous devez calculez votre DCE et votre DCI vous-même en utilisant les tableaux figurant dans la feuille du tour en cours en G63, V78 et AD78, en vérifiant la ligne B125 et C125 (votre DCE et DCI) et en lisant la ligne P19 et P20 de la Fiche budget. Attention à enlever l’équivalent de 250 ducats pour l’évènement « Seconde guerre d’Italie ».

A la rigueur, envoyez-moi tous votre Revenu du Commerce Intérieur, afin que je le communique à ceux qui doivent le retrancher de leur revenu car en guerre avec vous.

Dans votre Fiche budget, vous devez donc surveiller les lignes qui vont de G14 à G35.

 

Bayezid souscrit un prêt international et ne rembourse pas un de ses emprunts nationaux contracté précédemment. Il ne pourra donc pas contracter d’autre emprunt national jusqu’en 1519 et subira un -3 au jet de dé concernant le prêt international qu’il contractera s’il le désire, et ce jusqu’en 1519. Le turc remplit sa Table de suivi des prêts du Tour 5 ainsi que la Fiche budget en ligne 38 et 39.

Le doge contracte un prêt, il faut financer la guerre en cours, d’autant que la Seconde Guerre d’Italie a fait baisser le Dynamisme Commercial Extérieur de la République. Et des autres états d’ailleurs ! Toutefois, le commerce, c’est le sang de la Sérénissime et cela contrarie les plans italiens.

 

Ferdinand souscrit un prêt national auprès des bourgeois d’Espagne. Qu’il remplisse sa Table de suivi des prêts. Le roi d’ESPAGNE, taxe les Pays-Bas espagnols et reçoit donc une somme rondelette dans son TR (voir la règle spéciale, pour les curieux).

 

Phase administrative :

 

Logistique :

 

Maintenance et Achats :

    

Le roi de POLOGNE utilise un évènement secret « renfort naval » : 2 DN apparaissent à Odessa avec un amiral (pions de la PAPAUTE car il n’y a pas de pion DN polonais…). Une forteresse de niveau 3 apparaît également à Odessa. Un cosaque supplémentaire apparaît en BESSARABIA.

Une Armée (-) apparaît en POSEN et 1 DT en PODLASIA, de plus Sigismond recomplète ses armées en VOLHYNIA.

Les forces de bases hongroises sont placées sur la carte : 1 Armée (+) en TRANSYLVANIA avec le général, le DT à Budapest. De plus, Vladilas II Jagellon et ses hongrois, touchent des renforts en attitude « offensive » sur la Table des renforts de la Fiche diplomatie (AN76) : un dé 5 est tiré +2 (revenu de la Hongrie) soit 4 DT et 1 Campagne multiple. La POLOGNE peut donc recevoir 1 Armée (+) hongroise supplémentaire dont la moitié (1 Armée (-)) est financée par le mineur et le polonais peux financer l’autre moitié. Une Armée (+) se place en TRANSYLVANIA formant une pile avec l’autre armée.

 

Manoel Ier du Portugal ne semble pas engager d’achats, pourtant, quelques navires seraient les bienvenus.

 

Vassili III achète quelques troupes, une Armée (+) apparaît en TULA et deux DT en NIJNI-NOVGOROD. Il jette par ailleurs son dévolu sur un mercenaire conquistador, mais Henri VIII fait de même, du coup, enchères !

La mise de base est de 20 ducats et le roi d’Angleterre ouvre les enchères à 30 ducats. Vassili III surenchère à 35 et Henri VIII ne s’en laissant pas compter passe à 40. Le prince de Moscou s’accroche et offre 42 sur quoi réplique le souverain anglais par 45… Les enchères sont haletantes et le slave passe à 47 ! Plus que son revenu des terres ! Finalement, Henri VIII remporte l’enchère sur un 50 ducats tout rond qui annihile les ambitions russes, la caisse de retraite des mercenaires d’Europe exulte mais le roi d’ANGLETERRE fait grise mise, 30 Ducats de différence par rapport à ce qu’il avait planifié, ça fait mal au fondement. Le conquistador est placé aux Amériques, dans un fort.

 

Henri VIII n’achète pas de troupes ni de navires et place son mercenaire en ACADIE.

 

Le roi très chrétien Louis XII, dit aussi « père du peuple », bien décidé à faire valoir ses droits sur le MILANAIS, achète pour sa virée en Italie une Armée (+) placée en PROVENCE, ainsi que 2 Détachements Terrestres en LYONNAIS et PROVENCE.

 

Le khan de Crimée reçoit des renforts en attitude « offensive » sur la Table des Renforts de la ligne AN76 de la Fiche diplomatie : 2 DT et une Campagne Multiple gratuite de par le dé 3 +1 (revenus de la Crimée).

Bayezid achète une Armée (+) placée à Constantinople. Le DT déjà présent dans la capitale se transforme en Armée (-) et enfin, en ANGORA, apparaît un DT. Tout ce beau monde en « conscrit » évidemment. Bayezid explose ses dépenses ! Voudrait-il conclure cette guerre qui commence à trop durer ?

Le sultan utilise un évènement secret « renfort naval ». 3 DN apparaissent : un à Constantinople, les deux autres à Antalya pour former une Flotte (+) aux ordres de Barberousse. La Méditerranée va chauffer !

 

Venise investit dans deux DT et un corsaire (+), qui apparaissent à Venise. Les mamelouks, de leur côté, sortent un dé 8 sur la Table des Renforts en attitude défensive +2 (budget) = une Armée (+) en EGYPT et un niveau de forteresse apparait à Akaba.

 

Maximilien de Habsbourg engage une Armée (+), un niveau de forteresse et 1 DT vétérans, ainsi que deux généraux, pour soutenir le roi d’Espagne. L’empereur du Saint Empire Romain Germanique reçoit des renforts en attitude « Offensive » soit 3 DT et 1 Campagne Multiple qui font passer le DT déjà présent en une seconde Armée (+) placée en TYROL. L’empereur Maximilien Ier reçoit par ailleurs un DT impérial issu du Saint-Empire en SALZBURG. Tout ce beau monde en technologie « Médiéval ».

De son côté, Ferdinand acquiert une Armée (-) de tercios et un niveau de forteresse en MILANO, qui passe ainsi à 3. Une Armée (+) tercios est recrutée en CATALOGNE et un Détachement Terrestre apparaît à NAPOLI. Quelques galères sont acquises.

 

Placement des chefs :

Vous avez la possibilité de déplacer vos personnages, profitez-en !

Le conquistador espagnol Cortez est placé aux Antilles. Le conquistador portugais à Mogadishio quitte la région de SOFALA pour RIO. Le général espagnol Gonzalve de Cordoue (ou Cordoba) est placé à Milan avec l’Armée (-).

Je n’avais pas placé deux pachas et deux corsaires barbaresques, ainsi qu’un DT tatar disparu… c’est corrigé.

 

Actions administratives :

 

Sigismond économise, réservant ses fonds pour ses opérations militaires.

 

Le roi du Portugal bénéficie désormais du monopole total du commerce des peaux. Soit 3 PV ce tour. En actions administratives et commerciales, il implante un niveau de flotte de commerce en Gulf of Guinea puis tente une action d’implantation de niveau de colonie à RIO, c’est un succès. Attention, ces résultats sont à inscrire dans l’onglet du Tour 6.

 

Vassili III ne procède à aucune action administrative d’envergure.

 

Une action d’implantation de flotte de commerce en ZP England est tentée, ainsi qu’une action de concurrence dans la même zone, contre la flotte néerlandaise. Un dé 9 pour l’action d’implantation de flotte de commerce en ZP England sort, l’action est réussie. L’ANGLETERRE augmente sa flotte de commerce d’un niveau dans cette Zone Pays pour le tour 6. Il sort un dé 4 pour la concurrence soit ½, il relance un dé mais échoue sur un dé 8, la flotte hollandaise n’est pas impactée.

 

Louis XII augmente la flotte de commerce de sa ZP « France » d’un niveau, bénéficiant d’un bonus gagné lors de la phase d’évènement. Que le roi de France modifie sa fiche du tour 6 et ajoute un niveau à sa flotte.

 

Le sultan ottoman décide un impôt exceptionnel, sa Stabilité passe à 0. Bayezid pressure donc ses sujets afin de financer cette campagne qu’il espère victorieuse. Il tente une action de concurrence contre VENISE et une implantation en ZP Turkyie.

Un 2 est lancé pour l’action de concurrence sachant que le doge ne réagit pas et que son DCE est de 4, c’est un échec. Un dé 5 sort pour l’implantation de flotte de commerce en ZP Turkyie, c’est un succès.

 

Le doge Loredano décide de tenter l’implantation de flotte de commerce en ZP Turkyie et une avance en technologie terrestre. D’un côté, VENISE passe donc en « Renaissance » car il progresse de trois cases !!! Que le joueur modifie ses effectifs et intègre l’artillerie dans ses armées (en remplacement d’une/d’infanteries) et paie la mise à niveau technologique en G45 de la Fiche budget. De l’autre côté, en ZP Turkyie, c’est un succès de l’implantation de flotte, que le Doge reporte bien ce résultat dans l’onglet du tour 6.

Les commerçants hollandais gagnent deux niveaux de flottes de commerce, en ZM Irish Sea et ZM North Sea.

 

Ferdinand décide de lancer deux tentatives de colonisation en ORENOQUE et en GUYANA, histoire de mettre un pied sur le continent américain. En ORENOQUE, un dé 10 sort, la colonie est créée et prend le nom de « Carthagena ». Une seconde tentative est tentée plus au Sud sur la province où se trouve Ojeda mais, c’est un échec. Un niveau de flotte de commerce est acquis en Caribbean Sea. Que le joueur espagnol, note sa nouvelle colonie et son nouveau niveau de flotte dans la fiche du Tour 6.

ATTENTION : N’oubliez pas que tous ces résultats modifient vos revenus et que toutes ces modifications sont à porter dans l’onglet du tour 6 et pas celui du tour 5, déjà joué.

 

 

Phase militaire :

 

Encore une découverte, il faut laisser les pirates/corsaires en mer et pas les rapatrier. Je modifie donc cela sur la carte pour ceux qui ont survécus.

 

Premier round (1510 ?) :

    

Sigismond décide une campagne passive, 10 ducats : il ordonne d’envoyer sa nouvelle Armée (-) fraîchement recrutée en POSEN en GALICJA avec le DT de PODLASIA, il rejoint d’ailleurs cette pile, afin de mater la révolte de cette province au plus vite.

L’Armée (-) de BESSARABIA se porte avec le cosaque en UKRAYNA.

La pile de VOLHYNIA passe en BESSARABIA, tandis que l’armée ukrainienne se porte en KHARKOW en passant par UKRAYNA - histoire d’éviter une interception du Khan - pour se joindre à l’Armée (-) russe qu’elle commandera, en accord avec ce qui fut décidé précédemment avec le Prince de Moscovie.

La flotte de galère polonaise sort en Black Sea, histoire de faciliter une éventuelle interception puisque si elle reste au port, celle-ci subit un malus.

Que le joueur polonais change donc la localisation de ses troupes dans sa fiche militaire.

Un dé 1 sort pour la tentative de répression +1 (DT) +2 (Armée) +2 (mouvement du roi) = rien. La révolte des galiciens perdure.

 

Campagne simple de 20 ducats pour les portugais. Manoel Ier envoie le conquistador ?3 découvrir BAHIA sur un dé 2-4 = « S » succès de la découverte. Le navigateur ?1 quitte Cap Horn et s’avance en Gulf of Panama sur un dé 4+2+1-5 = 2 en colonne 8, 10% d’usure navale. Que le portugais note ses pertes dans la fiche militaire, sachant qu’un tiers sera récupéré au round 2 et 1/3 au tour 6.

Da Gama tente la découverte de MALAYA sur un dé 5-6 = Succès. Il débarque avec son Armée (+) et sort un 1 sur la Table des conquistadors car il attaque les indigènes : 75% sont éliminés et 25% désertent. Les portugais voient donc 1 DT de 7 infanteries conscrites les rejoindre ! D’entrée, Da Gama attaque le comptoir arabe de Singapour avec l’ensemble de ses forces.

Il sort un dé 7+4+11 en mêlée en colonne A, soit 35%** de 24 PF, donc 8 pertes et un moral négatif, contre un dé 5 en colonne A, soit 5% de 10PF = 1 perte. Le comptoir est capturé en un round ! Le portugais note ces modifications et crée un comptoir « Singapour » de 2 niveaux en MALAYA, qui exploite une ressource exotique « Epice » et une ressource exotique « Produits d’Orient » au Tour 6. Une flotte commerciale de 2 niveaux apparaît en ZM Indian Ocean. Que le joueur portugais ajoute cette flotte à sa Feuille de jeu.

Le fort de Janeiro est supprimé.

Da Gama vient de créer le premier établissement commercial occidental en Asie et de créer une route commerciale directe avec l’Europe. Le monopole total sur les « Produits d’Orient » rapportera 3 PV par tour, ce qui s’additionnera au monopole sur les peaux !

Attention : le centre commercial d’Alexandrie baisse ses revenus de 10 ducats du fait de la création de ce premier comptoir en Asie, soit 5 ducats pour le mamelouk (c’est un mineur donc pas d’incidence) et 5 ducats en moins pour le vénitien concernant les revenus de ce centre de commerce au Tour 6, que le joueur vénitien le note dans l’onglet du Tour 6, en cellule M51.

 

 

Vassili III ne bouge aucune troupe, il digère mal son échec aux enchères dernières.

 

Une campagne simple est décrétée. 20 ducats. Le conquistador mercenaire recruté à grand frais part d’ACADIA pour tenter la découverte de QUEBEC. Les navires quittent le port et se portent dans Gulf of Saint Laurent sur un dé 9 à l’usure navale -3 (mouvement de l’amiral) en colonne 5-3 soit rien.

Un dé 6 sur la Table de découverte -4 = 2 soit « S » et 10% d’usure terrestre pour le DT. La province de QUEBEC est découverte, que le joueur anglais note ses pertes terrestres et les soustraies à son DT. Un dé 2 est lancé sur la Table des conquistadors : 33% des indigènes sont éliminés, 33% désertent et 33% résistent. 3 infanteries indigènes passent du côté godon (qu’Henri VIII le note dans sa Fiche militaire) et 4 subsistent. Le conquistador sort un dé 4+3 (valeur de choc) en colonne A, soit 15%* donc 2 pertes mohawks et un moral qui passe à 0. Ces derniers sortent un dé 6 en colonne A soit 10% des 4 PF soit 1 perte anglaise. Les anglais décident un second jour de combat contre les 2 000 mohawks survivants et un dé 9 sort +3 = 40% des 9 PF soit 4 pertes indigènes contre un dé 2. Les autochtones sont donc éliminés de la province de QUEBEC.

 

Le père du peuple ordonne à Bayard de franchir la frontière et de traverser les Alpes pour se porter sur Milan avec l’Armée (+) de conscrits provençaux nouvellement formés. Lui-même reste en DAUPHINE pour mater la révolte des paysans locaux.

Bayard se porte donc en MILANO en ce 29 mai 1510 et l’Armée (-) de Cordoba reste sur place. Les tercios vétérans tablent sur leur solidité morale face au conscrits français.

Au feu, un dé 8 sort pour Bayard en colonne C soit 10%* donc 1 perte et un moral espagnol qui passe à 3. Cordoba sort un dé 8 au feu en colonne C +3 soit 20%** soit 1 perte française et un moral qui passe à 0.

Au choc, les français choisissent « Assaut par vague » et Cordoba opte pour « Défense » soit un +2 pour le défenseur. Bayard sort un dé 8 +2 (supériorité en cavalerie) = 10 en colonne A soit 30%** des 45 PF de l’armée française, soit 14 pertes espagnoles et deux niveaux de moral supplémentaires ! Les tercios sortent un 6+2 = 8 en colonne A soit 20%* des 14 PF = 3 pertes françaises et un niveau de moral.

L’armée espagnole est annihilée et Cordoba doit tester une blessure, car un dé 5 est sorti -5 (pile détruite). Il est transporté à Milan avec quelques rescapés de la bataille. Un dé 7 est tiré ce qui donne une blessure pour sept rounds. Côté Bayard, un dé 6 sort, pas de blessure mais le moral est devenu négatif, donc une retraite s’impose au général français et un dé 1 sort -1 en colonne 7, pas d’usure. L’Armée (+) française retraite donc en PROVENCE pour 7 PM. C’est donc un match nul.

Les joueurs français et espagnols enlèvent leurs pertes sur la Fiche militaire de leur Feuille de jeu respective.

Total des pertes de la bataille de Milan : 19 pertes. Victoire française, défaite espagnole. 1 point de situation militaire pour la FRANCE (Tableau C67 de la Fiche militaire).

La pile en BRETAGNE descend sur le LYONNAIS pour 5 PM.

En DAUPHINE un dé 2 sort +1 +1 (DT) +1 (mouvement de Louis XII) -3 (montagne) = 2 soit rien.

La Flotte (-) génoise se porte en Gulf of Lion et sort un dé 3 +2 (flotte) +2 (amiral) -3 -3 (corsaires) = 1 rien.

 

Bayezid, sultan de l’empire ottoman décrète une campagne simple de 20 ducats.

Le DT en ANGORA se déplace sur SYRIA. 5 PM.

En LIBAN, 2 DT sont laissés sur place et le reste de la pile se porte en JUDEA où elle récupère les pachas et DT déjà sur place, pour continuer sa route sur SAMARIA.

A Antalya, Barberousse quitte le port de CILICIA pour Estern Mediterean Sea, Aegian Sea - où 1 Détachement Naval est laissé en mer, dans le détroit qui sépare le continent grec des îles de Mer Egée – pour continuer sa route vers Sébastopol par Black Sea. Au passage, le DN à Constantinople est sorti en mer avec une Armée (-) en soute, rejoignant la pile navale de Barberousse qui passe à 2 Flottes (+). Les chevaliers de Malte et l’armada vénitienne de Grimani se trouvent dans l’impossibilité d’intercepter l’amiral ottoman, vu son facteur de mouvement. Les DN polonais tentent bien une interception, mais un dé 7 de l’amiral Thierry Hamelinski (amiral ?2 mineur en gris) reste insuffisant et l’Armée (-) turque débarque donc en CRIMEA. Cette Armée (-) ottomane se transforme en Armée (+) après sa fusion avec l’armée déjà sur place, une pile turquo-tatare de deux Armées (+) est ainsi formée en CRIMEA. Un dé 8 sort pour l’usure navale +3 (mers traversées de même niveau) -5 (valeur de mouvement de Barberousse) = 6 en colonne 4-3 soit rien.

A Constantinople, le sultan Bayezid décide rester à Galatasaraï, dans son hammam préféré, afin de se prélasser au milieu de ses concubines, en ces beaux jours de printemps. Il ordonne cependant au général ?2 de porter sa pile vers le KOSSOVO où le pacha Karim, parti de SERBIA, les rejoints.

La pile du général ?3 en DOBRUDJA se place un BUG, rejoignant ainsi le pacha Ali, Adnan restant sur place.

Un dé est tiré pour le siège de Jérusalem en SAMARIA, un 4 sort -2 (forteresse) +1 (artillerie) +2 (artillerie en double du niveau de la forteresse) +1 (facteur de siège du grand vizir) = 6 soit « usure (+) ». Un dé 3 à l’usure des assiégeants ne donne rien. Rien à Beyrouth, les DT ne parviennent pas à augmenter le niveau de siège.

Enfin, le pirate libyen de la régence de TRIPOLI se place en mer.

Le DN ottoman placé dans le détroit des Cyclades est des plus gênant, le sultan a profité de son initiative pour ainsi bloquer le ravitaillement de l’Armée vénitienne assiégeant Athènes. Cette dernière va devoir être contrainte à la retraite vers la source de ravitaillement la plus proche car cela se vérifie en début de round, avant les mouvements. La pile vénitienne devra retraiter vers RAGUSA en passant par ALBANIA, à portée de la pile ottomane en KOSSOVO.

 

Loredano décide une campagne passive. 10 Ducats.

La pile vénitienne est contrainte de lever le siège d’Athènes, puisque son ravitaillement est coupé, elle quitte HELLAS pour RAGUSA en passant par ALBANIA. Un dé 5 sort pour l’usure -2 en colonne 7 soit 10% de pertes à noter dans la Fiche militaire vénitienne.

Le général ottoman ?2 a la possibilité d’intercepter le mouvement italien, mais cela le ferait atteindre le seuil de 6 PM à partir duquel une usure est testée, il préfère s’abstenir et laisser passer la pile vénitienne qui se réfugie à Raguse. Cette dernière ne peut plus bouger pour ce round, neutralisée par sa retraite contrainte.

La grande Armada sort d’Argos pour se porter en Ionian Sea, déposant un DN à Candie au passage. Un test d’usure est effectué sur un dé 7 pour l’amiral Grimani -4 en colonne 5-3 = rien, pas d’usure navale. Un DN continue sa route pour rejoindre l’autre DN qui sort de Corfou et fusionner ensemble, pour se porter sur Venise avec l’amiral ?1. Dé 7 -2 +1 en colonne 2, pas d’usure. La pile navale de Grimani se transforme en 2 Flottes (+).

Le corsaire vénitien se place en Eastern Mediteranean Sea.

Le sultan mamelouk Al-Achraf Qânsûh II Al-Ghûrî décide de ne pas quitter Le Caire et de rester au chaud dans sa capitale.

Un dé 7 sort pour la lutte contre les corsaires libyens +4 +4 (Flottes (+)) +4 (Grimani) -1 = succès, le corsaire barbaresque est éliminé.

Attention : sur la carte, la Stabilité turque était à un au lieu de zéro. C’est corrigé.

 

 

Emery d’Amboise, Grand Maître des Chevaliers de Saint Jean de Jérusalem décide d’envoyer ses corsaires épauler ses compagnons vénitiens en Méditerranée et de foncer lui-même sur le DN turc en Aegian Sea et sans usure navale sur un dé 3-1+1 (valeur de mouvement du Grand-Maître) en colonne 4-3, soi rien. Le DN se réfugie à Thessalonique.

Côté ibérique, une campagne simple est décrétée. 20 Ducats.

La Flotte (-) de Barcelone, quitte la CATALUNYA pour Gulf of Lion, afin de lutter contre les barbaresques qui y pullulent. Un dé 7 sort -2 en colonne 2. Pas d’usure navale.

La pile Habsbourg quitte le TYROL et se porte en MILANO afin de défendre Milan contre les velléités françaises.

L’Armée (+) en CATALUNYA se porte en ROUSSILLON.

Outre-mer, Solis quitte les ANTILLES pour emmener le conquistador Léon et un DT en Winward Islands, Sea of Natal, Sea of Recife,Sea of Bahia sur un dé 4 +1 (mer de même mers) -4 (valeur de mouvement de Solis) = 1 en colonne 6, soit rien. Le navigateur espagnol tente la découverte de la mer de Rio de la Plata sur un dé 4-4 (Solis) et c’est un succès. Léon tente alors la découverte de la région de LA PLATA sur un dé 3 -3 (valeur de mouvement de Leon) et c’est un succès.

Pinzon et la Flotte (+) partent d’HAÏTI et se portent aux ANTILLES sur un dé 9-5 (mouvement de Pinzon) en colonne 6-3 (port ami dans chaque mer) soit pas d’usure navale.

En ORENOQUE, le conquistador ?2 passe au PANAMA et attaque les locaux. Un dé 5 est lancé sur la Table des conquistadors 20% désertent et passent côté ibérique, soit 1. Au feu, les tercios sortent un dé 8-2 (forêt)+3=9 en colonne C soit 15%*. Les guaymis perdent 1000 guerriers et leur moral passe à 0, l’effet sonore de l’artillerie espagnole est dévastateur sur ces chasseurs-cueilleurs. Le choc ne l’est pas moins, les espagnoles sortent un dé 9-2 (forêt)+4=11 en colonne A soit 35%** des 22 PF soit 8 pertes amérindiennes. Les autochtones guaymis sont annihilés de la surface du PANAMA contre un dé 8-2 en colonne B soit 10% des 3 PF, soit une perte espagnole. Que Ferdinand ajoute un DT avec 1 infanterie dans sa fiche militaire.

Ojeda ne bouge pas de sa mine, tandis que Balboa et le navigateur ?2 quittent GYUANA et sa région aurifère, se portant sur l’ORENOQUE à Carthagèna, sans usure navale.

 

Deuxième round (1511 ?) :

    

Sigismond effectue une campagne simple. 20 Ducats.

La pile hongroise se porte sur Belgrade en SERBIA pour y faire le siège, les ottomans réagisse en tentant une interception, un dé 6-2 sonne un échec.

En Black Sea, la pile navale polonaise se place en blocus de Sébastopol. Un dé 5 d’usure -2 en colonne 1 de donne pas d’usure. Soliman est bloqué dans le port tatar. Mais Barberousse ne s’en laisse pas compter, il a le nez creux et décide de tenter de contrer l’offensive navale polonaise, et son interception réussit sur un dé 10 +3 (différentiel de manœuvre des amiraux) -2 (Barberousse est dans un port) = 11 soit succès !

La première bataille navale de la Renaissance va donc opposer en ce 3 juin 1511 (?) une flotte ottomane et une flotte polonaise en Mer Noire, toutes deux composées de galères (je vous reporte à la ligne 187 de la Fiche militaire pour plus de détail). Le moral des adversaires est de 2. La Flotte ottomane est composée de 111 galères, la pile polonaise de 60.

Au premier jour, la phase de feu ottomane débute par un dé 5+2 (différentiel positif des amiraux) en colonne E, soit 5% soit 55 x 0.5 = 55 PF arrondis à 3 donc 3 galères polonaises de perdues (1 récupérée au round 3, 1 au tour 6). Les polonais répliquent par un dé 2… rien. Dans une bataille navale, après la phase de feu, l’un des adversaires peux décider de rompre le combat s’il a l’avantage du vent, ici, se sont des galères et donc, pas d’avantage du vent, il y a donc abordage directement. Barberousse sort un dé 6+3 (différentiel positif de la valeur d’abordage des amiraux) = 7 en colonne A, soit 15%* des 111 PF soit 18 pertes polonaises et un moral qui passe à 1. Ces derniers sortent un 3… sans commentaire.

Les deux joueurs décident secrètement s’ils restent pour un second round, le polonais lâche logiquement l’affaire et retraite à Odessa, tandis que Barberousse décide de rester. Sigismond récupèrera 7 galères au round 3 et 7 au tour 6, qu’il le note dans sa fiche militaire. Il n’y a pas de poursuite, puisque le moral polonais n’est pas négatif, Barberousse reste donc en Black Sea.

Total des pertes de la bataille navale de la Mer Noire : 21 pertes polonaises. Victoire turque, défaite polonaise. 1 point de situation militaire pour la POLOGNE.

Un dé 8 sort pour le siège de Belgrade -2 (forteresse) = 6 soit « usure (-) ». Un 2-4 (valeur de mouvement du général hongrois) sur la Table d’usure en colonne 1 ne donne rien.

La répression de Sigismond est réussie sur un dé 9 +1+2+2 en GALICJA.

 

Une campagne passive est décrétée par le roi du Portugal. 10 Ducats.

Un dé 3 sort pour la découverte du North Eastern Pacific Ocean et du Grand Pacific Ocean soit +2 (cercle vert) 5-5 (valeur du navigateur portugais ?2) +1 = S.

La Flotte (-) au large de Singapour rentre dans le comptoir, un dé 5 d’usure navale est lancé en colonne 5-3 soit rien. Da Gama se transforme en amiral.

 

Une campagne passive est décidée par le prince de Moscou, 10 ducats. Que Vassili III remplisse bien la case O148 en y plaçant les 10 ducats. L’Armée (+) quitte TULA pour WORONES et est rejointe par le général russe ?2.

 

Le roi d’Angleterre décide d’une campagne simple, Henri VIII retranche 20 Ducats de son TR. Le conquistador en Amérqaique du Nord tente la découverte du LABRADOR sur un dé 7-4 (mouvement du conquistador) = S*. C’est un succès, un point rouge est placé sur la région et un test de « Disparitio » est effectué : 2. Le résultat est inférieur ou égal à la valeur de mouvement, donc pas de soucis. 20% d’usure sont comptabilisées par le joueur anglais. 

Le DN en Gulf of Saint Laurence se place dans le fort. Pas d’usure navale sur un dé 7-3 en colonne 2.

 

Campagne passive pour Louis XII, 10 Ducats. La pile en LYONNAIS se place en DAUPHINE pendant que les DT font l’inverse. En PROVENCE, l’Armée (+) qui y est présente se scinde en deux Armée (-), Bayard se retrouve donc avec une Armée (-) qu’il laisse au général ?2, abandonne son commandement, pour se placer à Lyon avec le général ?3. L’autre Armée (-) se porte en DAUPHINE. Louis XII se place avec les deux DT en LYONNAIS. Attention, l’Armée (-) en DAUPHINE absorbe un des DT déjà présent sur place pour respecter l’empilement et devient une Armée (+), que Louis XII modifie cela dans la Fiche militaire de la Feuille de jeu.

La Flotte (-) génoise rentre tranquillement à Gênes sur un dé 2 d’usure navale.

Un dé 6 sort pour la répression de la révolte +4 +4 (Armées (+)) +1 (manœuvre de Bayard) -3 (montagne) -2 (révolte (+)) = 10. La révolte disparaît en DAUPHINE, tout juste, car un 10 était nécessaire au minimum.

 

Avant que Bayezid ne joue, le doge Loredano déclare utiliser l’évènement secret « Trahison » en sa possession. Le vénitien a soit l’opportunité de prendre une forteresse déjà assiégée depuis un round, ou de manœuvrer une pile ennemie et la placer où il veut. Le doge choisit évidemment la seconde option et décide de déplacer la pile ottomane en KOSSOVO pour TRAPZON. Le turc subit donc une usure puisqu’ayant utilisé 12 PM. Un dé 6 sort -2 (mouvement du général turc ?2) -1 (provinces amies) = 3 soit 10% de pertes sur la pile. Le pacha Karim trépasse de dysenterie aggravée, avec ses 10 000 bachibouzouks.  Attention, si une perte est prélevée sur un pacha au combat (pas à l’usure), ce dernier est éliminé. Que le turc retranche ses pertes de sa pile en arrondissant au supérieur.

Le sultan décide donc d’une campagne simple de 20 Ducats. L’amiral Barberousse quitte Sébastopol pour rejoindre le port de Trapzon, il ne subit pas d’usure navale sur un dé 1. La pile navale ne peut être interceptée par la flotte polonaise sur un dé 4-2 (pile au port à Odessa).

L’amiral ?3 quitte Sébastopol pour Thessalonique, il est seul mais peu bouger quand même. L’ottoman décide de partir avec le DN, qu’il commande désormais, pour la ZP Turqyie. Pas d’usure navale. Une tentative d’intercepter est effectuée par le Grand-Maître des chevaliers en Aegian Sea mais un dé 4 ne suffit pas.

Au niveau terrestre, le pacha Adnan quitte la DOBROUDJA pour la THRACIA. 4 PM.

Côté tatar, une campagne simple est décrétée par le Khan de Crimée, elle est gratuite, donc autant en profiter. Le DT quitte KAFFA pour KERCH, avec le général ?4. Le Khan de Crimée Mehmed Ier Giray fonce sur KHARKOW et l’armée ukraino-russe. Le général polonais tente une retraite avant combat qui échoue. En ce 12 juin 1511, les polono-ukrainiens décide de retraiter à l’intérieur des murs de Kharkov. 2 PM.

Les 2 DT assiégeant Beyrouth renoncent au siège et se portent en JUDEA, rejoint par le DT de SYRIA. Une Armée (-) est ainsi constituée sur place qui est absorbée en SAMARIA par la pile d’Ibrahim. 3 PM.

Un dé 6 sort pour le siège de Jérusalem -2 (forteresse) +3 (marqueur usure « + ») +1 (artillerie) +2 (artillerie en double par rapport au niveau de la forteresse de Jérusalem) +1 (valeur de siège des généraux présents) = 11 soit « B » Brèche pour Ibrahim ! Le général turc a donc la possibilité de faire un assaut sur Jérusalem, qui voit sa défense divisée par 4, soit 10 Points de Force. Cependant, le gouverneur de Jérusalem est bon : 4.4.4, donc attention.

Au feu, les mamelouks sortent un dé 9 +2 (différentiel positif de la valeur de feu des généraux) = 11 en colonne B soit 30%** des 2PF. 1 perte ottomane et deux moral qui passe à 0... Ces derniers sortent un dé 1… la poudre, mouillé par une forte pluie qui a gorgée les tentes du campement turc a tut les canons des assiégeants. Au choc, les égyptiens sortent un dé 6 +1 (valeur de choc des généraux) en colonne B soit 10%* des 10PF soit 1 perte ottomane et un moral qui passe à -1 pour les troupes d’Ibrahim. Ce dernier sort un dé 8 en colonne A, soit 20%* de ses 78 PF = 16 pertes mamelouks ! La garnison de Jérusalem est détruite, mais les troupes ottomanes déroutent, puisque leur moral est passé en négatif. Ne pouvant exploiter leur résultat, les turcs concèdent un match nul… Que Bayezid retranche sa perte dans sa fiche militaire. La forteresse de niveau 2 est détruite, le pion gris est enlevé de la carte mais la ville n’est pas prise. Ibrahim retraite et sort un dé 3 à l’usure terrestre -3 (mouvement d’Ibrahim), rien.

A Kharkov, Mehmed Ier Giray entame le siège de Kharkov et l’aide des pièces d’artillerie turque est la bienvenue. Un dé 2 est lancé -1 (forteresse de niveau 1) +2 (pions Armées réfugiées à l’intérieur) +1 (artillerie) +2 (artillerie en double) = 6 soit une « usure (-) ». Pas d’usure des assiégeants sur un dé 6 en colonne 1. Les assiégés perdent 30% de leurs effectifs. Que les joueurs polonais et russes enlèvent 30% de leurs effectifs respectifs de leurs armées dans la Fiche militaire de la Feuille de jeu.

Le DN échoue en Eastern Mediterean Sea à contrer les corsaires chrétiens sur un dé 4 +1 (DN) +4 (mouvement de l’amiral) -3 (corsaire (+)) -1 (corsaire (-) = 5.

Après consultation de la règle et de la FAQ, Jérusalem tombe en fait puisque la garnison explose. Cf  le point 82 de la FAQ. Je corrige donc la carte en conséquence. Le turc enlève une infanterie pour la garnison de sa conquête et reste en SAMARIA. Un drapeau ottoman est posé sur la province.

Attention ! Il n’y a pas de phase de feu pour le défenseur en technologie « Médiéval » pendant un assaut !! Cf FAQ n°88. Je modifie la Feuille de jeu qui vous sera remise pour la prochaine période (1520-1559)… En attendant, soyez attentif ou modifiez vous-même les lignes Y 136 et Y 137 de la fiche militaire, sachant qu’à partie de « Renaissance », c’est la colonne A pour l’assiégé au feu (lignes Y 139 et 139).

 

Le doge Loredano décide d’une campagne simple de 20 Ducats.

Le DN de Venise se porte sur RAGUSA, de même pour celui de Candia. Aucune usure navale pour ces deux mouvements au dé 3 et 1, un DN est laissé sur Preveza au passage. La pile terrestre est ainsi renforcée, pour ensuite se porter sur la province d’ALBANIA où un siège est établi. 5 PM.

Grimani et l’Armada vénitienne se porte sur Trapzon pour y bloquer Barberousse. Un dé 6+3-4=5 en colonne 5 pour l’usure navale fait perdre 10% de navires à Venise.

En Orient, l’Armée Mamelouk se porte sur SAMARIA. Le but de Bayezid étant l’anéantissement total des mamelouks, il reste et accepte la bataille de Aïmesglaouï en ce 13 juin 1511. Le calife Al Mutamsik décide de la tactique « attaque en échelon » et Ibrahim « contre-attaque de flanc », cette dernière est testée et passe. C’est donc un +2 pour l’attaquant.

Au feu, en Médiéval, seules les deux artilleries turques donnent : 8 +1 (différentiel positif de la valeur de feu des généraux en chef) en colonne C soit 15%* des 4 PF soit une perte mamelouke et un moral qui passe à 1. Au choc, un dé 5 +2 (tactique attaque en échelon) +1 (différentiel de choc des généraux) en colonne B = 15%* des 81 PF mamelouk, soit 13 pertes ottomanes et un moral qui passe à 1. Ibrahim réplique par un dé 2 +2 (cavalerie) = 5% de 116 PF… 6 pertes mamelouks. Le calife Al Mutamsik décide d’en rester là, la bataille d’Aïmesglouï est la bataille indispensable à la conservation de la mainmise mamelouk sur l’Egypte (Cf la règle spéciale) lors d’une guerre. C’est ainsi chose faite, par conséquent le calife décide un prudent repli au Caire. 10 PM. Un dé 8 -5 (valeur de mouvement du calife) -1 (provinces amies) = 2 en colonne 7 soit pas d’usure terrestre. Une poursuite est effectuée par Ibrahim en colonne E sur un dé 7 soit 5% à nouveau :  6 pertes mamelouks.

Total des pertes de la bataille d’Aïmesglaouï : 13 pertes mameloukes et 13 ottomanes. Victoire turque, défaite mamelouke.

Un dé 10 sort pour le siège de Preveza -1 (forteresse) +1 (artillerie) +2 (artillerie) -2 (terrain) = 10 soit « B » Brèche. Le vénitien décide de passer à l’assaut de la forteresse aux PF divisés par 4, soit 5 PF. Au feu, un dé 6 de l’artillerie vénitienne en colonne C +3 (valeur de feu du général vénitien) -1 (forteresse) -2 (terrain) = 6 soit 5%. 1 perte turque. Un dé 6 pour le feu de la garnison de Preveza en colonne A donne un 10% soit 1 perte vénitienne. Au choc, un dé 5 -1 (forteresse) +3 (valeur de choc du général vénitien) -2 (terrain) = 5 en colonne B soit 5 des 29 PF soit 2 pertes pour la garnison ottomane. Un dé 10 sort pour les défenseurs, en colonne A soit 30%** soit 1 perte vénitienne et un moral qui passe à 1. Le général vénitien décide d’en rester là, conservant le bénéfice de la brèche pour le round 3. Un marqueur « B » est placé sur Preveza.

Remarque : je vais utiliser des généraux de remplacement pour les combats/assaut des piles sans généraux/garnisons, ce que je ne faisais pas jusque-là. J’essayerais de vous communiquer leur valeur systématiquement avant chaque combat/assaut.

Mes aïeux ! Quel jeu…

 

 

Le Grand-Maître des chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem se porte en Sea of Marmara pour bloquer les détroits mais il subit 30% d’usure navale à arrondir au multiple de 3 supérieur. 1/3 sera récupéré au round 3, 1/3 au tour 6. Que le joueur espagnol le note dans sa Fiche militaire.

Ferdinand de son côté décrète une campagne simple de 20 ducats.

La Flotte (-) de galère reste en mer pour lutter contre les barbaresques tandis le DN à Cadix sort en Bay of Biscaye, Sea of Canaria et relâche aux Canaries. Un amiral de remplacement est désigné (Z3 étoile noire des pions espagnols : 2.2.3) et un dé 8 à l’usure sort +1 (mers traversées de même niveau) -2 (valeur de mouvement) = 7 en colonne 2 soit *, un dé 3 sort : rien.

En Amérique, l’Armée (+) à PANAMA ne bouge pas, tandis que la Flotte (+) de Pinzon aux ANTILLES, sort avec Cortez en soute, pour Carabean Sea, Gulf of Mexico et débarque à Carthagèna Nueva en ORENOQUE.

Le navigateur ?2 quitte Carthagena Nueva pour les ANTILLES en passant par Carabean Sea et Winward Island. Un dé 3 est lancé -5 en colonne 3. Rien.

Solis et le DN sous son commandement débarquent le DT à LA PLATA et entament la construction d’un fort. Solis poursuit sa route et tente la découverte de Coast of Patagonia sur un dé 10 -4 sur la Table des découvertes de la Fiche militaire (AI178) = ½ et 50% d’usure navale. Arrondi au 1/3, avec récupération d’un tiers au round 3 et d’1/3 au tour 6, à noter dans le Fiche militaire. Un dé est relancé et c’est un 8 qui sort soit S* c’est un succès mais Solis est blessé pour trois rounds.

Un dé 9 sort pour la lutte contre les barbaresques (AM 133 de la Fiche militaire) +2 (amiral) +2 (Flotte) -3 -3 (corsaires « + ») = 7. Insuffisant… Les barbaresques restent et fouillent la mer en quête de proies juteuses. Il serait bon que la police des mers vénitienne intervienne mais malheureusement pour les commerçants ultramarins, l’Armada Veneziana est occupée en Mer Noire.

 

Troisième round 3 (1512 ?) :

    

Sigismond Ier décide d’une campagne simple, 20 Ducats.

La pile en BESSARABIA de Constantin Ostrojowski (général lituanien ?4), quitte la province en question, pour traverser le Dniepr et traverser la province de DONETSK, puis se porter en KHARKOV sur la pile tataro-turque du Khan. 3 PM.

Le Khan tente une interception en DONETSK mais échoue, il participe à un siège et il y a déjà une présence ennemie dans la province (cosaques)

Constantin Ostrojowski arrive donc avec ses deux Armées (+) et le Khan accepte la bataille de la Steppe à mimile en ce 16 juin 1512. Les polonais choisissent la tactique « Attaque de flanc », les tatars « Contre-attaque ». Un dé est nécessaire pour passer l’ordre de Constantin Ostrojowski. Un dé 4 sort +4 (valeur de mouvement) l’Attaque de flanc passe : l’attaquant retire les effectifs mis sur le flanc pour le premier jour, mais obtient un +3 au second jour et les suivant. Constantin répartit ses troupes et les lancent au combat 50% de sa ligne est réservé à la manœuvre de flanc. La technologie est majoritairement médiévale pour le Khan et Renaissance pour les polonais.

1er jour : phase de feu, l’artillerie polonaise se déploie dans la plaine et tonne sur un dé 6 +1 (différentiel de feu positif des généraux) soit 5%* des 8 PF soit 1 perte tatare et un moral qui passe à 1. Côté Khan, Mehmed Ier Giray lance un dé 9 en colonne C soit 15%* des 4 PF = 1 perte polonaise et un moral qui passe à 2. Au choc, Constantin Ostrojowski sort un dé 2 soit rien en colonne A, Mehmed Ier Giray sort un dé 2 en colonne B +1 (valeur de choc du Khan) +2 (double de cavalerie puisque les effectifs polonais sont divisés par deux) = 5% des 138 Pf soit 6 pertes slaves. Que les joueurs notent leur perte dans leur Fiche militaire.

Mehmed Ier décide de retraiter, car avec une attaque de flanc qu’il voit poindre à l’horizon, il ne veut pas prendre de risque. Un dé 4 sort pour l’usure en colonne 7 -5 (valeur de mouvement du Khan) rien. Il lève donc le siège de Karkhow, pour se placer en CRIMEA. Une poursuite est alors entamée par les polonais, qui sortent un dé 10 en colonne E soit 15%* des 147 PF (divisés par deux, puisqu’encore au premier jour), soit 11 pertes tataro-ottomane. 25% des pertes sont de la cavalerie et une artillerie doit être incluse dans les pertes, que Bayezid retire cela de ses effectifs et me dise si un pion évolue de (+) à (-).

Pas de blessure pour les généraux.

Total des pertes de la bataille de la Steppe à Mimile : 19. Victoire polonaise, défaite turque. 1 point de situation militaire pour la POLOGNE.

Le roi Sigismond quitte la GALICJA avec sa pile pour se porter en VOLHYNIA, BESSARABIA (ou il laisse le DT) puis DONETSK où elle rejoint le DT cosaque resté sur place. 4 PM.

La pile en UKRAYNA se porte sur BESSARABIA et intègre le DT laissé par Sigismond pour former une Armée (+), accompagnée d’un DT cosaque. 2 PM. Le général turc ?1 tente l’interception de cette pile mais cela échoue sur un dé 4.

Les deux DN à Odessa quittent le port pour se placer en Sea of Marmara.

Le roi de HONGRIE se contente de continuer son siège sur un dé 6-2 (forteresse) +1 (usure (-)) = usure (-) soit une usure (+) sur Belgrade. Un dé 8 sort pour l’usure des assiégeants en colonne 2 soit 10% d’usure terrestre pour la pile hongroise. Que le polonais enlève ces pertes de sa Fiche militaire.

 

Une campagne passive est décrétée, 10 Ducats.

Da Gama quitte Singapour pour se placer en Central Indian Ocean. Sur un dé 6-6 en usure navale +2 (mers de même niveau) en colonne 5 soit rien.

Le navigateur ?2 sort un dé 5 pour la découverte de Sea of Philipines et Southern China Sea +1 (mer traversée) -5 (mouvement du navigateur) soit S, succès de la découverte. Le DN continue sa course jusqu’en Central Indian Ocean où il rejoint Da Gama sur un dé 7 -5 (valeur de mouvement du navigateur) +2 (mers traversées de même niveau) en colonne 5 soit relancer. Dé 7 = 30% d’usure navale. Le joueur portugais note ses pertes sur sa Fiche militaire.

 

Le Prince de Moscou décide d’une campagne passive, 10 Ducats.

L’Armée (+) à WORONES et l’Armée (-) à KARKHOW se réunissent en UKRAYNA. 1 PM.

 

Campagne passive pour Henri VIII qui ordonne donc pour 10 Ducats à don génral ?1 en ACADIA de rejoindre le DN en Gulf of Saint Laurent au fort et de partir pour le continent en passant par Gulf of St Laurence, Central Atlantic Ocean et Irish Sea sur un dé 3 +1 (mer traversée) -3 en colonne 6 = rien.

 

Louis XII ordonne une campagne simple de 20 Ducats et ordonne à Bayard de traverser les Alpes avec sa pile pour se porter sur MILANO en ce 18 juin 1512 à proximité du village de Mozzini. Le général français sans peur et sans reproche décide d’une « attaque en échelon » tandis que les Habsbourg choisissent « défense » : +1 donc au défenseur.

Au feu, Bayard et ses vétérans, malgré une culture militaire pas très au fait du maniement des pièces d’artillerie, sort tout de même un joli dé 10 en colonne C, soit 20%** des 8 PF français en la matière, donc une perte autrichienne et un moral qui passe à -1… puisque conscrits. Ces derniers étant en technologie « Médiéval », ils n’ont pas de feu. Les Habsbourg savent déjà que c’est plié, suite à cette phase de feu. Au choc, Bayard sort un dé 6 +2 (différentiel positif de la valeur de choc de Bayard et du général Habsbourg) en colonne A, soit 20%* des 90 PF français = 18 pertes et un moral autrichien qui passe à -2. C’est une déroute autrichienne totale que cette bataille de Mozzini. En effet, ces derniers répliquent par un dé 1+1 (tactique Défense contre Attaque en échelon) au choc… Maximilien, l’empereur du Saint-Empire-Romain-Germanique en attrapa un hoquet de quatre heures à la nouvelle de cette déconfiture. Que l’espagnol note ses pertes en enlevant 25% de cavalerie puisque nous sommes en plaine. Pas de blessure des généraux enregistrée sur un dé 5 et un dé 6.

La poursuite est tirée sur un dé 5 en colonne E, soi rien. Le moral étant négatif, il y a déroute pour les autrichiens sur un dé 3-1 (retraite en province amie) en colonne 7, donc * on relance donc le dé 6-1 = 30%. Les Habsbourg retranchent donc ces pertes de leur pile et que l’espagnol me dise si un pion est modifié. La pile autrichienne décide de retraiter en TYROL, laissant le général ?4 à Milan afin qu’il fasse bénéficier la défense lombarde de son bonus.

Total de la bataille de Mozzini : 43 pertes. Le français ne passe pas loin de la victoire majeure et des 5 PV qui vont avec. Victoire française, défaite espagnole. 1 point de situation militaire pour la FRANCE.

Bayard commence ainsi l’investissement de Milan sur un dé 6 -3 (forteresse) -1 (général Habsbourg ?4) +1 (valeur de siège d’un des généraux français) +1 (artillerie) = 4 soit « usure (-) ». L’usure des assiégeant est tirée sur un dé 7 en colonne 1, soi rien.

Avis au polonais : il a y avait un sur empilement en KARKHOW, le polonais devait bouger la pile russo-ukrainienne pour la déplacer dans une autre province afin de l’éviter. Par conséquent, je prends la liberté de déplacer ladite pile en UKRAYNA où l’Armée (-) russe est déposée et place l’Armée (-) ukrainienne en SEWERIA.  2 PM. Ça vous va Sigismond ?

 

Campagne simple de 20 Ducats pour Bayezid.

Depuis KERCH, le DT tatar se divise en deux parties, l’une reste sur place et l’autre se porte sur CRIMEA pour intégrer la pile du Khan. 3 PM. Le polonais a l’occasion d’intercepter avec ses trois piles mais il préfère jouer la prudence, il laisse le DT tatar passer.

Le pacha Turgut en TRAPZON se porte sur ANGORA avec une Armée (-) tirée de la pile. 4 PM.

Barberousse tente une évasion du blocus de Trébizonte mais il échoue sur un dé 5 (ligne AK 92 de la Fiche militaire) +1 (pile bloquante ayant moins de navires) +1 (différentiel positif de la valeur des amiraux) = 7, échec. Il décide de continuer son mouvement tout de même et se heurte donc au barrage de l’amiral vénitien Grimani, une bataille navale est donc enclenchée, la bataille des esturgeons débutent en ce 19 juin 1512. Le moral est de 2 des deux côtés.

La phase de feu se déroule en colonne E, Barberousse sort un dé 6 soit 5% = 6 pertes vénitiennes, tandis que Grimani réplique par un dé 8 soit 10% = 6 pertes turques.

Vient l’abordage, Barberousse sort un dé 2+1 (différentiel positif de la valeur des amiraux en abordage) et Grimani un dé 10 en colonne A. Ca va trancher dans les mâtures se dit Grimani… Les turques ne font rien. Les vénitiens infligent 30%** aux ottomans, soit 27 pertes turques et un moral qui passe à 0.

D’après la règle en ligne 163 de la Fiche militaire, le bloqué peut forcer le blocus s’il perd la bataille et se réfugier dans un autre port où il sera poursuivi une seconde fois (deux jets de dé de poursuite) et pourra être bloqué dans le nouveau port où il s’est réfugié.

Bon là j’ai un souci car « perdre la bataille » c’est passer en moral négatif ici et pas effectuer une « retraite volontaire ». Si le perdant retraite, il retraite vers la source de ravitaillement amie la plus proche à savoir Trapzon, donc pour moi, il faut avoir un moral négatif pour pouvoir perdre la bataille et forcer le blocus. Sinon, c’est trop facile, systématiquement le joueur bloqué force le blocus et au bout du 1er jour, il décide d’une retraite où il veut, limitant ainsi les risques, ce n’est pas dans l’esprit du jeu et de la manoeuvre selon moi. Donc, je préfère ici attendre que la bataille soit effectivement perdue au moral par un des protagonistes pour appliquer la règle sur le blocus forcé.

Barberousse décide de forcer le blocus coûte que coûte et Grimani a décidé de continuer. Un second jour est entamé et sur la phase de feu turque, Barberousse sort un dé 3 en colonne E et Grimani un dé 2 donc rien, les boulets des galères volent en tous sens au milieu de la Mer Noire, qui commence à bouger à cause du vent d’Est qui s’est levé. Au choc, Barberousse sort un dé 1+1 (différentiel de la valeur d’abordage) en colonne A = rien. Grimani réplique par un dé 4 soit 5% = 6 pertes ottomanes.

Un troisième jour est décidé par les deux amiraux et un dé 1 sort pour le feu turc… contre un dé 8 pour le feu en colonne E soit 10%* et donc un moral qui passe en négatif et 6 pertes turques supplémentaires. A l’abordage, c’est un dé 4+1 (Barberousse à l’abordage) = 5 en colonne A soit 5% des 6 pertes vénitiennes. Que le turc me confirme son effectif.

En moral négatif, Barberousse décide de se porter à Constantinople avec le reste de sa pile navale.  Un premier dé de poursuite est donc lancé par Grimani : 9 en colonne E soit 10%* soit 9 pertes ottomanes supplémentaires. Un second dé de poursuite est tiré et s’est un 4 en colonne E soi rien. La pile terrestre débarque à Constantinople. 2 PM. Que Bayezid retranche ses pertes terrestres en fonction des facteurs de transport perdus et me dise si un pion est modifié.

Pas de blessure pour les amiraux. Une usure est calculée pour Barberousse qui sort un dé 10-5 (mouvement de Barberousse) en colonne 4-3 (port ami dans chaque mer) = rien. Ouf ! Merci à la valeur de mouvement de l’amiral ottoman. Grimani sort un dé 6 -4 (mouvement de Grimani) = 2 en colonne 4 soit rien, tout pareil. Grimani se poste donc au large de Constantinople et bloque Barberousse dans le port-capitale de l’empire ottoman.

Total des pertes de la bataille des esturgeons : 12 galères vénitiennes et 54 galères ottomanes. Ce n’est pas une victoire majeure, car il fallait 150 pertes de galères pour une bataille majeure… Il y a de la marge. Les joueurs notent leurs pertes et en récupèrent 1/3 au round 4, 1/3 au Tour 6. Victoire vénitienne, défaite turque. 1 point de situation militaire pour VENISE.

Après avoir débarqué, le général ottoman ?2 passe en MACEDOINE et intègre le pacha Adnan à sa pile. 3 PM.

Enfin, Ibrahim passe à l’attaque en SINAÏ avec sa pile, contre le Calife des mamelouks. Ce dernier décide d’accepter le combat en ce 19 juin 1512 à la bataille du mont Sinaï. Ibrahim choisit « assaut » et lecalife Al Mutamsik « Contre-attaque de flanc » mais un dé est nécessaire pour passer l’ordre : un dé 3+5 (mouvement) = 8, la contre-attaque de flanc est réussie. Le défenseur scinde son armée et consacre au moins 50% des effectifs à la défense le premier jour et au second jour de bataille, il possédera un +4 avec l’ensemble.

Les troupes se déploient dans le désert égyptien, le vent souffle aux nasaux de la multitude équine prête à la charge, les sarouels frémissent, les pièces d’artillerie ottomane entament leur chant sourd. 

1er jour : Ibrahim fait donner ses canons sur un dé 9 +1 (différentiel de feu des généraux) -2 (désert) = 8 en colonne C = 10%* soit 1 perte égyptienne et un moral qui passe à 1.

Au choc, Ibrahim lance à l’assaut ses 140 000 hommes sur un dé 7-2 (désert) +2 (double de cavalerie) = 7 en colonne A, soi 15%* des 213 PF ottomans = 32 pertes mamelouks ! Al Mutamsik réplique en colonne B sur un dé 2-2 (désert) +1 = rien.

2e jour : les généraux tentent leur chance. Un dé 4 -2 (désert) +1 (différentiel de feu des généraux) en colonne C = rien pour les canons turcs. Au choc, ces derniers sortent un dé 8 -2 (désert) +2 (cavalerie) en colonne A soit 20%* : les mamelouks sont détruits et leur moral passe à -1, mais ils répliquent par un dé 9 -2 (désert) +1 (différentiel de choc) +4 (tactique de la contre-attaque de flanc) = 12 en colonne B soit 35%** des 16 PF mamelouks = 6 pertes ottomanes et un moral qui passe à 0

Pas de poursuite, puisque l’Armée mamelouk est annihilée, un dé 4 sort pour la blessure d’Ibrahim : rien, un 1 sort pour le Calife qui est blessé 8 rounds. Le général 2.2.2 égyptien se réfugie dans Akaba.

Total des pertes de la bataille du mont Sinaï : 46 (dont ¼ de cavaliers), ce n’est pas une confrontation majeure que cette bataille du mont Sinaï à 4 pertes près, Bayezid rate les 5 PV de la victoire majeure.

En Méditerranée, un dé 7 -4 à l’usure navale en colonne 1 ne donne pas de pertes à l’amiral ?3 turque en Eastern Mediterean Sea. Le corsaire de Cyrénaïque est placé en ZM Ionian Sea.

Ibrahim investit la forteresse du Sinaï. Un dé 5 sort pour le siège d’Akaba -2 (forteresse) -2 (désert) -2 (port sans blocus) +1 (artillerie) +2 (artillerie) +1 (valeur de siège d’un général) = 3 rien. Un dé est lancé pour l’usure des assiégeants : 6 +2 (désert) en colonne 1 = * on relance, un 7 sort soit rien, pas d’usure.

Un dé 5 sort pour la lutte contre les corsaires en ZP Turkyie +1 (DN) +4 (Mouvement de l’amiral) -3 (corsaire « + ») -1 (corsaire « - ») = 6. Rien.

 

Le Calife est hors-jeu, les mamelouks à poil, donc rien en Egypte.

En Europe, une campagne simple est décidée par le Doge Loredano, 20 Ducats.

Sur mer, l’amiral Grimani quitte la Western Black Sea pour Sea of Marmara, Aegian Sea et Ionian Sea sur un dé 1 -4 (manœuvre de Grimani) +2 (mers traversées) en colonne 5 = rien à l’usure navale. Les deux DN à Raguse rejoignent Grimani en Ionian Sea. Pas d’usure navale sur un dé 5-2 en colonne 2.

En Adriatic Sea et le blocus de Preveza, le DN subit un dé 7 à l’usure navale -2 (mouvement de l’amiral) en colonne 1 : rien.

Sur terre, le général vénitien laisse deux DT sur Preveza en ALBANIA et se porte sur la pile ottomane en MACEDONIA. Le turc décide de faire face, ce sera la bataille de Pella en ce 20 juin 1512. Le vénitien choisit la tactique « Assaut par vague » contre une « Défense » pour le turc. +2 au dé du défenseur. Le vénitien est vétéran, le turc conscrit.

Les deux sont en technologie « Renaissance » et donc, il y a une phase de feu pour chacun des adversaires. Un dé 5 sort pour l’artillerie turc, calmement installée dans la plaine macédonienne, en colonne C = 5% des 4 PF soit une perte vénitienne. Un dé 3 sort pour l’artillerie. Rien. Au choc, le vénitien sort un dé 10+1 (différentiel de choc) en colonne A = 35%** soit 16 pertes ottomanes et un moral qui passe à 0. La réplique des turcs est un dé 3 +2 (double de cavalerie) +2 (tactique) en colonne A = 15%* = 14 pertes vénitiennes et un moral qui passe à 2. Que les joueurs enlèvent leurs pertes dont 25% doivent être de la cavalerie. Le turc décide d’éliminer le pacha Adana.

Un second jour de bataille est décidé et l’artillerie vénitienne commence fort par un dé 8 en colonne C soit 10%* soit une perte ottomane et un moral qui passe en négatif. Les turcs répliquent par un 8 aussi, le moral vénitien passe à 1 et une perte est subie. Au choc, les italiens sortent un dé 9 +1 en colonne A = 25%** soit 7 pertes ottomanes et un moral qui passe à -3 ! Le général turc sort un dé 6+2 (cavalerie) +2 (tactique) = 40%** soit un moral vénitien qui passe à -1 et 28 pertes ! Enfin 16 en réalité, car la pile italienne est détruite. On retire 25% des pertes en cavalerie ainsi que toute l’artillerie.

Les deux protagonistes subissent une déroute, le vénitien est éliminé, le turc subit une déroute et perd l’entièreté de son artillerie. Il n’y a pas de poursuite puisque c’est un match nul. Le bonus tactique turc a fait la différence, ainsi que les effectifs de la cavalerie orientale. La pile turque retraite vers la ville amie la plus proche et reste donc sur place puisque la province est vide d’ennemi.

Les généraux survivent, le vénitien se place à RAGUSA.

Total des pertes de la bataille de Pella : 56 pertes mais comme c’est un match nul, pas de victoire majeure, les 5 PV ne sont donc pas attribués.

Le siège de Preveza continue sur un dé 8 -1 (forteresse) +2 (Brèche) = 9 = « usure (+) » supplémentaire. Un dé 7 +2 (terrain) est subit pour les assiégeants en colonne 2 soit 10% soit 2 pertes vénitiennes.

Pour la lutte contre les corsaires en Ionian Sea, Grimani sort un dé 5 +4 (Flotte) +4 (Flotte) +4 (Grimani) -1 (corsaire) = le barbaresque explose.

 

Maximilien de Habsbourg, Empereur du Saint-Empire-Romain-Germanique décide de laisser sa pile en TYROL. Il ne bouge pas d’un yota.

Le Grand-Maître reste en Mer de Marmara sur un dé 3 -1 (mouvement de l’amiral) en colonne 4 soit rien.

C’est une campagne passive pour Ferdinand. 10 Ducats.

La Flotte (-) en Gulf of Lion y reste sur un dé 1 pas d’usure.

Aux Amériques, l’Armée (+) seule, laissant le conquistador sur place se porte dans la province Sud de l’ORENOQUE où se trouve la mine d’or, accompagné par Ojeda qui fait un aller-retour, pour commander la pile. Ojeda sort un dé 9-3 (Ojeda) -1 (provinces amies) = 5 en colonne 7 soit 30% d’usure terrestre sur l’Armée (+).

Crtès et Balboa descendent avec le DT de la colonie de Nueva-Carthagena vers le Sud rejoignant Ojeda sur un dé 9-5 (Cortez) -1 (provinces amies) = 3 en colonne 7 : 10% d’usure terrestre sur le DT qui fusionne avec le DT déjà sur place.

La Flotte (-) de Pinzon quitte Nueva-Carthagena pour les ANTILLES par Gulf of Mexico et Carribean Sea. Un dé 4 +1 (mers traversées) d’usure -5 (Pinzon) en colonne 6-3 = rien.

Le DN aux CANARIAS se porte sur Cadix sur un dé 8-2 (mouvement de l’amiral de remplacement) +1 (mers traversées de même niveau) en colonne 5-3 = * relance = 3 rien.

Le DN en Coast of Patagonia rentre au fort côtier de LA PLATA sur un dé 1 en colonne 6-3 soit rien.

Le DN des ANTILLES avec l’amiral ?2 en mouvement (Luis Juan Felipe Cinco del Mar y Azul) part et va en Winwards Island, Sea of Natal, Sea of Recife, Sea of Bahia, Rio de la Plata, et rejoint le DN dans le fort de LA PLATA. Un dé 2 +3 (mers traversées) -5 (mouvement de l’amiral) en colonne 6 = rien.

Que Ferdinand enlève les pertes dues aux usures de sa Fiche militaire.

Un dé 10 est lancé et c’est donc un quatrième round militaire.

 

Quatrième round (1513 ?) :

    

Sigismond Ier et Vladislas II Jagellon - son gentil cousin - ne font rien, quedal, walou, si ce n’est le siège de Belgrade en SERBIA qui se poursuit sur un dé 4 -2 (forteresse) +3 (usure « + ») = « usure (-) » supplémentaire sur la Table de sape (cellule AD133 de la Fiche militaire de la Feuille de jeu). Un dé 2 sur la Table de risque des mouvements (cellule AD78 de la Fiche militaire) en colonne 3 (3e round de siège) ne donne aucune usure des assiégeants, les hongrois sont bien nourri : Tokaï et goulache à gogo !

Pas d’usure navale pour les Détachements Navals en Sea of Marmara sur un dé 3-2 en colonne 4 de la Table de risque ses mouvements.

 

Une campagne passive est décidée. 10 ducats.

Le navigateur ?2 décide de tenter la découverte de Coast of Malabar et Gulf of indus sur un dé 2 -5 (valeur de mouvement du navigateur portugais ?2) +1 (mer traversée à partir de la deuxième) sur la Table des découvertes (cellule AI178 de la fiche militaire) = -2 soit « S » Succès. Les deux mers sont découvertes et un point couleur chair est apposée sur la carte à côté des mers en question. Da Gama décide de tenter la découverte de la région de MALABAR sur un dé 3 -6 (valeur de mouvement de Da Gama) c’est chose faite. Il débarque donc dans la région, à Goa, seul, avec des intentions pacifiques, négociant avec les potentats locaux en vue de l’implantation d’un futur comptoir.

Observation : La Flotte de commerce portugaise en Irish Sea est au niveau (-) pas (+).

 

Vassili III décide d’une campagne simple à 20 Ducats.

La pile en UKRANYA quitte cette province pour faire mouvement sur DONETSK puis CRIMEA où elle attaque la pile tatare du Khan de Crimée en ce 24 juin 1513, c’est la bataille du mur des tatars. Le général russe ?2 tente une « attaque de flanc » qui échoue sur un dé 4, se sera donc un « assaut ». Le défenseur tatar choisi la tactique « Défense ». Il n’y aura pas de modificateur tactique. Le moral est vétéran des deux côtés, en technologie « Médiéval » cela fait 2.

Au feu, les turcs ont encore quelques canons qu’ils mettent en batterie dans la steppe. Un dé 6 sort en colonne C de la Table de résultat des combat (cellule AB104 de la Fiche militaire) = 5% soit 1 perte russe. Les slaves n’ont pas de canons, ils en sont dépourvus à cause de la technologie « Médiéval », donc pas de phase de feu pour eux. Au choc, les slaves sortent un dé 9 en colonne A (Cf la Table de choc en AK113 et la Table de choc en AK123) soit 25%** des 108 PF russes = 27 pertes et deux niveaux de moral pour les tatars qui passent au niveau 0. Les tatares répliquent par un dé 8 +2 (différentiel de choc positif des généraux), il n’y a pas deux fois plus de cavaliers tataro-turcs que de russes, cette fois pas de +2 pour le Khan = 10 en colonne A, soit 30%** des 132 PF = 40 pertes russes et un moral qui passe à 0. Que les deux joueurs enlèvent au moins 25% de cavalerie dans les pertes subies. Je veux savoir s’ils continuent pour un deuxième jour de bataille, un SMS suffit, par contre qu’ils remettent à jours leurs effectifs et me les redonnent s’ils choisissent de continuer. Attention : un moral négatif entraîne une déroute.

Total des pertes de la bataille du mur des tatares : 68.

Un oubli majeur du russe me contraint à autoriser l’annulation de cette campagne, la pile russe était - après vérification – en moral « conscrit » de la technologie « Médiévale » et pas « vétéran » soit 1. Un peu léger pour passer à l’offensive sur une pile de deux Armées (+) tataro-ottomanes.

Vassili III ne bouge donc pas, restant sur la province d’UKRAYNA.

 

Henri VIII déclare une campagne simple, 20 Ducats.

Le conquistador mercenaire payé à grands frais quitte la région de LABRADOR et tente la découverte de la région BAIE D’HUDSON en passant par le Nord de la région QUEBEC sur un dé 4 sur la Table des découvertes de la Fiche militaire (cellule AI178) -4 (mouvement du mercenaire, premier chiffre à gauche sur le pion) = 0 soit « S ». Succès. Le DT entame la construction d’un fort. 12 PM. Les ressources exotiques « peaux » et « pêches » sont potentiellement exploitables par les anglais, à condition d’y implanter un comptoir/colonie.

 

Louis XII décide d’une campagne simple de 20 Ducats.

La pile en LYONNAIS quitte la province, le roi reste sur place mais elle se place en LANGUEDOC. 1 PM.

Le siège de Milan se poursuit aux ordres du chevalier Bayard sur un dé 5-3 (forteresse) -1 (valeur de siège du général Habsbourg dans la forteresse, quatrième chiffre à partir de la gauche) +1 (usure) +1 (artillerie) +1 (valeur de siège du général présent dans la pile française de Bayard) = 4, soit une usure (-) supplémentaire faisant passer le siège de la capitale lombarde à « usure (+) ». Un dé 3 -1 (valeur de siège d’un des généraux de Bayard) sort pour l’usure des assiégeants en colonne 2. Rien.

 

 

Le Sultan décide d’une campagne simple de 20 Ducats.

En Egypte, la pile d’Ibrahim en SINAÏ crée quatre DT qui se dispersent dans la province de SYRIA, ALEPPO et SAMARIA, le dernier reste en SINAÏ avec les deux pachas Bahaman et Amar, afin de couvrir Akkaba. Le reste de la pile se porte sur le Caire en EGYPT où l’assaut est ordonné immédiatement par Ibrahim. La forteresse vaut 20 PV et a un moral de 2 (vétérans en « Médiéval »), les turques sont vétérans (en « Renaissance ») : 3. Le gouverneur du Caire est un général de remplacement 3.1.3.

Au feu, un dé 10 est lancé par le général ottoman -1 (forteresse) +1 (différentiel positif de la valeur de feu – deuxième chiffre sur le pion en partant de la gauche) en colonne B = 25%** des 8 PF = 2 pertes mamelouks et un moral qui passe à 0. Au choc, un dé 5 -1 (forteresse) en colonne A = 5% soit 3 pertes mameloukes, contre un dé 10 en colonne B soit 25%** = 5 pertes ottomanes et un moral qui passe à 1.

Un second jour d’assaut est décrété, un dé 5 sort -1 (forteresse) +1 (général) = 5% des 8 PF soit une perte mamelouke. La forteresse du Caire est donc à 14 PF. Au choc, Ibrahim sort un dé 8-1 (forteresse) en colonne A = 15%* des 53 PF soit 8 pertes égyptiennes supplémentaires et un moral qui passe en négatif. La garnison réplique par un dé 8 en colonne B soit 15%* soit 2 pertes ottomanes et un moral qui passe à 0.

Le Caire tombe donc en ce 28 juin 1513. Les deux capitales de l’empire mamelouk sont donc capturées et par conséquent, à la phase de paix, ce pays mineur disparaîtra.

La pile de Barberousse quitte Constantinople et se porte en Sea of Marmara pour en chasser les polono-chevaliers de Rhodes : un dé 4 est lancé pour l’usure navale en colonne 1 -5 (valeur de mouvement de Barberousse) soit rien.

Emery d’Amboise, Grand Maître des Chevaliers de Saint Jean de Jérusalem décide de tenter la retraite avant combat sur un dé 3 sur la Table de retraite avant combat en cellule AK87 de la fiche militaire. C’est un échec, les chevaliers se font approcher par Barberousse. De leur côté, les polonais décident de ne pas éviter le combat, se sera donc la bataille navale des détroits en ce 28 juin 1513. C’est au chef commandant la plus grande force que revient le commandement dans un combat de coalition, c’est donc l’amiral polonais ?3 qui prend le destin de la bataille navale des détroits en main.

Les deux flottes sont constituées de galères, la valeur de moral est donc de 2, la valeur de feu de 0.5 et la valeur de combat de 1. Reportez-vous au tableau en cellule P84 de la Fiche militaire pour avoir une idée des facteurs concernés, en fonction de votre technologie. Les Galères turques sont au nombre de 83 plus 2 Navires de Transport, de leur côté les chevaliers possèdent 30 galères et les polonais 48.

Au feu, les ottomans sortent un dé 9 +2 (différentiel positif de la valeur de feu des amiraux) en colonne E (Cf la Table de feu naval en cellule P113 de la Fiche militaire) = 20%* soit 9 pertes polono-rhodienne et un moral qui passe à 1. Un dé 9 sort pour ces derniers = 10%* soit 6 pertes ottomanes et un moral qui passe à 1.

Etant en technologie « galère », les adversaires sont obligés de rester pour l’abordage et Barberousse sort un dé 3 +3 (différentiel positif de la valeur d’abordage des amiraux – 3e chiffre en partant de la gauche sur le pion) en colonne A (d’après la Table d’abordage en cellule P123 de la Fiche militaire) soit 10% = 9 pertes polono-rhodienne. L’amiral polonais ?3 sort un dé 8 en colonne A soit 20%* = 15 pertes turques et un moral qui passe à 0.

Il reste, au seuil du second jour de bataille 62 galères ottomanes et 60 galères polono-rhodiennes en Sea of Marmara. Le moral des marins de Barberousse est de 0, celui de l’amiral polonais ?3 de 1.

Le polonais et le chevalier n’étant pas allié - j’avais oublié ce détail - il y a deux combats séparés… donc je recommence en conservant les dés jetés. Et un combat c’est deux piles maxi, pas plus.

Au feu, les ottomans sortent un dé 9 +3 (différentiel positif de la valeur de feu des amiraux) en colonne E (Cf la Table de feu naval en cellule P113 de la Fiche militaire) = 20%** soit 9 pertes rhodienne et un moral qui passe à 0. Un dé 9 sort pour ces derniers = 10%* soit 3 pertes ottomanes et un moral qui passe à 1.

Etant en technologie « galère », les adversaires sont obligés de rester pour l’abordage et Barberousse sort un dé 3 +4 (différentiel positif de la valeur d’abordage des amiraux – 3e chiffre en partant de la gauche sur le pion) en colonne A (d’après la Table d’abordage en cellule P123 de la Fiche militaire) soit 15%* = 12 pertes rhodiennes et un moral négatif. Le Grand Maître sort un dé 8 en colonne A soit 20%* = 3 pertes turques et un moral qui passe à 0.

Les chevaliers de Saint Jean de Jérusalem sont contraints de retourner à Rhodes, un dé 8 de poursuite est lancé en colonne E +4 (différentiel de manœuvre) = 20% de pertes supplémentaires. Le Détachement Naval des chevaliers n’est plus… les amiraux survivent. 1/3 des pertes sera récupéré au round 5, 1/3 au Tour 6, que les joueurs le note dans leur Fiche militaire.

Total des pertes de la bataille navale des détroits : 30 galères rhodiennes et 6 turques.

Barberousse décide de continuer sa chasse sur la pile navale polonaise avec ses 77 galères et 2 Navires de Transport. Les slaves décident de faire face, et un dé 6 sort au feu pour Barberousse en colonne E +2 = 10% soit 6 pertes polonaises. L’amiral ?3 polonais sort un dé 8 soit 10% aussi de ses 48 galères soit 6 pertes ottomanes.

A l’abordage, Barberousse sort un dé 3 +3 (différentiel d’abordage) en colonne A = 10% soit 9 pertes polonaises. Ces derniers sortent un dé 10 soit 30%** = 15 pertes ottomanes et un moral qui passe à 0.

Un deuxième jour de bataille est décidé et un dé 2 sort au feu en colonne E +2 (différentiel de Barberousse au feu) soit rien. Les polonais sortent un dé 1 soit rien. A l’abordage, l’amiral ottoman sort un dé 3 +3 (différentiel de la valeur d’abordage) en colonne A = 10% soit 6 pertes polonaises. L’amiral ?3 sort un dé 5 soit 5% des 33 PF soit 3 pertes ottomanes.

Un troisième jour est décidé, la seconde bataille navale des détroits est âpre, personne ne veut quitter les détroits si convoités. Les 53 galères et 2 NT turques repartent à l’assaut de la ligne polonaise et ses 27 galères. A un contre deux, Barberousse espère l’emporter malgré un moral dans les choux. Un dé 7 sort +2 en colonne E = 10%* le moral polonais passe à 1 et ils perdent 3 bateaux, contre un dé 8 soit 10% = 3 pertes ottomanes. A l’abordage, les galères s’entrechoquent les rames se brisent pour la troisième fois, dans un fracas étourdissant et les cris par milliers de marins enragés ! Un dé 3+3 pour Barberousse = 10% soit 6 pertes polonaises contre un dé 7 et 15%* = 6 pertes et un moral turc qui passe en négatif ! Barberousse déroute et se réfugie à Constantinople et un dé 5 +1 de retraite (colonne 4-3 de la Table de risque) et un dé 5 de poursuite (colonne E de la Table de résultat des combats) ne donne rien. Les polonais choisissent de rester en Sea of Marmara mais ils ont pris cher…

Total des pertes de la seconde bataille des détroits : 30 galères polonaises et 29 ottomanes. Ce n’est pas une bataille majeure puisque 3 galères = 1 Navires, donc le seuil était à 150 pertes… Victoire polonaise, défaite turque. 1 point de situation militaire pour la POLOGNE.

Le pacha Turgut et l’Armée (-) en ANGORA se portent en NICAE pour 2 PM.

Un dé 8 sort pour l’usure navale de l’amiral ?3 ottoman en Eastern Mediterean Sea -4 en colonne 1 soit rien. Un dé 9 sort pour le même amiral concernant sa lutte contre les corsaires sur la Table de lutte contre les pirates/corsaires de la Fiche militaire (cellule AM133) +1 (DN) +4 (valeur de mouvement de l’amiral turc) -1 (corsaire des chevaliers) -3 (corsaire vénitien) = 10 soit un corsaire chevalier (-) en moins.

J’enjoins l’ensemble des joueurs à bien vérifier le déroulé des combats et les bonus/colonne/tableaux… utilisés afin que vous puissiez vérifier si tout est sans erreurs de ma part. Par exemple, le français et le turc m’ont fait judicieusement observer l’oublie d’une +1 d’usure sur le siège de Milan, cela peut vite entraîner de graves conséquences. En effet, sur une usure (+), l’assiégeant peut rester sur la province au tour suivant, si le conflit perdure, et même sur les négociations de paix, cela peu influer, donc, vraiment, lisez attentivement l’almanach. Je m’efforce depuis peu de détailler les tableaux utilisés pour vous permettre de maîtriser leur utilisation, donc n’hésitez pas à me corriger ou me poser des questions. Je rappelle à tous que la règle de la phase militaire est entièrement à votre disposition dans la Fiche militaire, en bas de page.

 

Une campagne simple est décidée par le doge Loredano. 20 Ducats.

L’amiral de l’Armada vénitienne, Grimani, décide de se porter en Eastern Mediterean Sea avec sa pile et de s’attaquer au Détachement Naval de l’amiral ottoman ?3. Un dé 6 sort pour l’usure navale -4 (mouvement de Grimani) en colonne 5-3 (port ami dans chaque mer) = rien.

 Le turc tente la retraite avant combat qu’il réussit sur un dé 10 et dé 8-4 en colonne 1 est tiré pour l’usure. Rien. L’amiral ottoman retraite sur Antalya en province de CILICIA. Grimani décide de bloquer la pile turque en effectuant le blocus d’Antalya.

Le siège de Preveza en ALBANIA se poursuit sur un dé 2-1 (forteresse) -2 (terrain) +2 (Brèche) = 1 soit rien. Un dé 2 +2 (terrain) est lancé en colonne 3 de la Table de risque des mouvements = rien, pour l’usure des assiégeants, cependant, le siège de la capitale albanaise ne tient plus qu’à un fil…

 

Campagne simple pour Ferdinand d’Espagne. 20 Ducats.

La Flotte reste en mer en Gulf of Lion, afin de lutter contre les barbaresques. Le grand maître des chevaliers cautérise ses plaies. Un dé 9 sort pour l’usure navale -2 (mouvement de l’amiral) en colonne 5-3 (port ami dans la mer) sur la Table de risque des mouvements (Z78 de la Fiche militaire) = * on relance : 6, rien.

Maximilien de Habsbourg ne bouge pas sa pile du TYROL.

Ojeda et Balboa quitte le Sud de l’Orenoque avec leur pile pour tenter la découverte de l’ECUADOR sur un dé 5 sur la Table des découvertes (AI178 de la fiche militaire) = 2 soit 10% d’usure et « S » donc succès et 3 pertes espagnoles. Un point jaune est apposé sur la province. Ojeda décide d’utiliser la Table des conquistadors (Y178 de la Fiche militaire) en colonne 7-12 et dé 1 sort ! 50% des indigènes éliminés, 25% désertent et 25% résistent. 7 indigènes passent côté espagnol et 8 résistent. Ojeda attaque donc les amérindiens, il est en Tercios donc, en moral 4 face à du Médiéval conscrit au moral de 1…  Un général indigène 1 ? est tiré : 1.0.4.

Au feu, les couleuvrines ouvrent le bal sur un dé 7 -2 (terrain) +4 (valeur de feu d’Ojeda) = 9 en colonne C soit 15%* des 2 PF d’artillerie qui est divisée par deux en forêt. 1 perte indigène et un moral qui passe à 0.

Un dé 3 au choc en colonne A pour les espagnols -2 (terrain) ne donne rien. Un dé 2 pour les indigènes -2 (terrains) en colonne B ne donne rien.

Les 7 indigènes survivants décident de retraiter et se replient dans la forêt de la côte pacifique après avoir subi un dé 9 à l’usure en colonne 7 +2 (terrain) -1 (mouvement du chef indigène) = 60% d’usure... 6 pertes supplémentaires. Il ne reste plus qu’un DT de 1 infanterie.

Cortez en ORENOQUE ne bouge pas tout comme le conquistador ?2 en PANAMA. A LA PLATA, le navigateur ?2 tente la découverte du Cap Horn après être passé en Coast of Patagonia (usure sur un dé 7-5 =2 en colonne 6-3 = rien). Un dé 10 sort sur la Table des découvertes -5 = ½ et 40% d’usure navale. Un second dé est lancé et s’est un 9 ! Ouf, « S » succès. Un point jaune est placé en Cape Horn.

Que le joueur espagnol retranche ses pertes, attention perte navale 1 = perte sèche, perte 2 = revient au round 2 perte 3 revient au tour 6, perte 4 sèche…

Pinzon quitte HAÏTI pour rejoindre Cadix sur un dé 5 +3 (mers traversées de même niveau de risque) -5 (valeur de mouvement du navigateur Pinzon) en colonne 6-3 = pas d’usure navale, le voyage s’effectue sans encombre.

Un dé 1 pour la lutte contre les corsaires barbaresques ne donne rien.

Un dé 10 sort pour vérifier si la phase militaire continue, donc round 5 !

 

Cinquième round (1514 ?) :

    

Sigismond ne bouge pas d’un pouce tandis que le roi de HONGRIE se contente de continuer le siège de Belgrade sur un dé 8 -2 (forteresse) +1 (usure -) +3 (usure (+) = B soit une « brèche » le pion marqueur Brèche est placé et les hongrois partent à l’assaut. La garnison de niveau 2 de 40 PF est divisée par 4 soit 10 PF. Les assaillants ont 40 infanteries en vétérans soit un moral de 0, les défenseurs ont un moral de 3 et un gouverneur aux valeurs suivantes : 1.1.1. Pas de feu pour les assaillants, puisqu’en « Médiéval ». Les défenseurs utilisent leurs pièces d’artillerie et un dé 4 sort en colonne A = 5% : une perte hongroise. Au choc, les magyars partent à l’assaut et c’est un dé 8-2 (forteresse) +2 (différentiel positif de choc des généraux) en colonne B = 15%* = 6 pertes ottomanes et un moral qui passe à 2. Le gouverneur de Belgrade réplique par un dé 4 en colonne A soit 5% = 1 perte hongroise supplémentaire.

Vladislas II donne l’ordre à son général de tenter un second jour d’assaut. Pas de feu pour les hongrois mais un dé 9 pour les turques en colonne A soit 25%** des 4 PF restants = 1 perte hongroise et un moral qui passe à 0. Ces derniers accusent le coup et repartent à l’assaut, malgré le feu nourris des défenses. Un dé 6 -2 (forteresse) +2 (différentiel positif du choc des généraux) = 10% des 38 PF hongrois en colonne B, soit 4 pertes turques qui sort un dé 5 en colonne A soit 5% = 1 perte hongroise.

Belgrade tombe donc au bout de trois rounds de siège. Que le polonais enlève ses pertes de sa Fiche militaire.

1 point de situation militaire pour la POLOGNE.

En Sea of Marmara, le DN polonais subit un dé 3-2 à l’usure navale en colonne 4, soi rien.

 

Campagne passive. 10 Ducats.

Le navigateur ?2 tente la découverte de la région d’ORMUZ en PERSE, c’est réussi sur un dé 2 -3 (c’est une province côtière donc le navigateur voit sa valeur de mouvement divisée par deux) sur la Table des découvertes, c’est un succès. Le navigateur quitte ensuite Gulf of Indus pour Le Cap en passant par Coast of Malabar, Central Indian Ocean, Western Indian Ocean et Cape of Storm sur un dé 4 -5 (mouvement du navigateur) +2 (mers traversées) +1 (cercle vert en Cape of Storm) = 3 en colonne 7 soit 10% d’usure navale. 1 navire de perdu.

Da Gama rentre à MALAYA avec la Flotte (-) et la pile terrestre sur un dé 3 -6 (mouvement de da Gama) +3 (mers traversées) en colonne 5 = rien. Il est passé par Coast of Malabar, Central Indian Ocean, Eastern Indian Ocean et Straits of Malacca.

 

Campagne passive, 10 Ducats pour la RUSSIE. Vassili III ordonne à la pile en UKRANYA de rejoindre TULA par SEWERIA et OREL. Un dé 1 sort pour l’usure (-1 (provinces amies) -2 (Manœuvre du général russe ?2). pas d’usure terrestre.

 

Une campagne passive pour Henri VIII. 10 Ducats.

En Europe, le général ?1 se déplace à la frontière écossais, en MARCH, afin de prendre le commandement du Détachement Terrestre qui s’y trouve.

Outre-mer, le conquistador mercenaire se porte en région QUEBEC, laissant une partie de ses troupes terminer le fort en construction et s’installe au nord du Saint Laurent avec le DT qui l’accompagne, ce dernier entame la construction d’un autre fort. Les anglais sont bien décidé à pérenniser leur installation au Nord du Canada par cette ligne de fortification. 12 PM. Un dé 1 à l’usure terrestre ne donne aucune perte sur la Table de risque des mouvements (cellule Z78 de la Fiche militaire).

 

Campagne simple pour le roi de France Louis XII. 20 Ducats.

Les français restent calmes, ils continuent le siège de Milan et un dé 10 sort sur la Table de sape en cellule AD133 de la Fiche militaire -3 (forteresse de Milan) -1 (valeur de siège du général espagnol présent) +3 (usure « + ») +1 (valeur de siège d’un des généraux français présent) = 10 soit « B » ! Une brèche est donc ouverte dans les murs de la capitale ducale, les 60 PF sont par conséquent divisés par 4 en cas d’assaut et le malus de la forteresse n’est plus compté pour l’attaquant… après réflexion, Bayard décide de partir à l’assaut de la forteresse. Au feu, les français sortent un dé 6 en colonne C soit 5% des 8 PF = 1 perte espagnole. Ces derniers sortent un dé 5 +3 (différentiel de valeur de feu des généraux, Bayard étant une burne au feu…) en colonne A = 20%* des 6 PF = 2 pertes françaises et un moral qui passe à 2. Au feu, Bayard sort un dé 3 +5 (différentiel positif de la valeur de choc des généraux) en colonne B = 15%* = 6 pertes espagnoles et un moral qui passe à 2. Les ibériques répliquent par un dé 9 en colonne A ! 25%** ! Le moral français passe à 0 et 4 pertes sont enregistrées… Bayard en reste là, il garde cependant le bénéfice de la « Brèche » pour le round 6, s’il vient à survenir. Que Louis XII enlève ses pertes de sa pile.

 

Messieurs, prenez garde à bien enregistrer vos dépenses de campagnes dans l’onglet du tour en cours (Tour 5) de votre Feuille de jeu. Vous indiquez la nature de la campagne en L146 ou L147 puis, la sommes cumulée d’un round à l’autre de la phase militaire en O148. Ce total sera reporté automatiquement dans la Fiche budget. Attention : pas de bras, pas de chocolat ! Autrement dit : pas d’argent dans le TR, pas de campagne, vérifiez donc l’état de vos finances dans la Fiche budget avant de donner vos ordres. Il faut avoir assez de ducats dans le Trésor Royal (TR), sinon c’est levée des sièges en cours etc etc… et surtout banqueroute !

Banqueroute : un joueur fait banqueroute lorsqu'à n'importe quel moment du jeu il est en Trésor Royal négatif. Conséquences : 4 niveaux de Stabilité perdus, 2 manufactures choisies au hasard éliminées, 4 niveaux de Flotte de Commerce perdues, choisies au choix du joueur, -15 PV. La banqueroute contraint le joueur à signer une paix immédiatement avec tous ses ennemis si elle l'amène à un niveau de Stabilité de -3. Cette paix se résout immédiatement et le jeu reprend.

 

Bayezid II, sultan de l’empire ottoman, sa sublimissime protubérance de l’Orient décrète une campagne simple de 20 Ducats.

La flotte de l’amiral Barberousse sort de la capitale impériale et se porte en Sea of Marmara pour en chasser le Détachement Naval polonais qui décide de rester et courageusement faire face aux mahométans dégénérés. C’est la troisième bataille navale des détroits en ce 5 juillet 1513.

Les 40 galères de Sigismond font donc face aux 68 galères turques (et 2 Navires de Transport). Au feu, les galères ont une puissance de 0.5 et c’est un dé 2 qui sort pour Barberousse +2 (différentiel de feu) en colonne E, soi rien. Les slaves sortent un dé 7 sur la même colonne soi un 5% des 20 PF polonais : 3 galères ottomanes. A l’abordage, en colonne A, les turques sortent un dé 2 +3 (différentiel d’abordage) = 5% de leur 65 PF donc 6 pertes polonaises. Ces derniers sortent un dé 7 non modifié soi 15%* = 6 pertes ottomanes et un moral qui passe à 1.

Barberousse commence à se dire que ces fichus polonais lui courent sur le haricot, il décide donc de remettre le couvert et bien entendu, les polonais qui sont là pour lui barrer la route ne bougent pas d’un poil de bison de Bialowieza. Les canons rechargés vomissent leur métal et les turques sortent un dé 4 +2 = 5% soi 3 pertes polonaises qui répliquent par un dé 3 soi rien. Le second abordage est lancé et Barberousse éructent ses encouragements aux janissaires de l’infanterie de marine ottomane et c’est un dé 6 qui sort +3 en colonne A : 25%** = 15 pertes polonaises et un moral slave qui passe à 0. Les polonais sont abonné au dé 7 donc 15%* = 6 pertes turques et un moral ottoman qui passe à 0.

A ce stade le moral des protagonistes est de 0 de chaque côté. Les galères turques sont au nombre de 44 contre 19 polonaises. Barberousse est décidé à libérer les détroits à tout prix et remet le couvert pour un troisième jour de combat, l’amiral polonais relève le défi, c’est têtu un polonais…

Au feu, Barberousse sort un dé 4 en colonne E… put… de m… lâche-t-il à son maître de l’artillerie, qu’il fait passer par-dessus bord +2 = 5% : 3 galères polonaises. Le slave sort un dé 1, la poudre commence à manquer côté polonais, il ne fallait peut-être pas prendre autant de fûts de vodka en cale… A l’abordage, Barberousse sort un dé 6 +3 en colonne A : 25%** enfin ! Les polonais perdent 12 galères et déroutent ! Ils répliquent cependant par un dé 6 : 10% soit 3 galères ottomanes supplémentaires à enlever de la flotte mahométane. Que les joueurs notent leurs pertes dans leurs Fiche militaire en n’oubliant pas qu’1/3 est récupéré au round 6, 1/3 au Tour 6.

Un dé 1 sort en colonne E pour la poursuite sur la Table de résultat des combats (cellule AB104 de la Fiche militaire), soi rien. L’unique galère polonaise survivante se portent à Odessa, Barberousse reste sur place avec sa pile navale.

Total des pertes de la troisième bataille navale des détroits : 57 galères dont 18 turques. Victoire turque, défaite polonaise. 1 point de situation militaire pour la TURQUIE.

Ceci fait, l’Armée (-) de MACEDONIA se déplace en ALBANIA. 3 PM. : le général vénitien ?1 décide de tenter la retraite avant combat et échoue de peu sur un dé 8. Il y aura donc bataille en ce 5 juillet 1513, la bataille de Sköder. Le général vénitien choisit la tactique « Défense » tandis que l’ottoman prend « Assaut » donc pas de bonus/malus. Les deux piles sont en « conscrit », technologie « Renaissance » soit un moral de 2.

Les turcs ayant perdus leur artillerie, pas de phase de feu, au choc, le général ottoman 2 ? sort un dé 4 en colonne A -2 (montagne) soi rien. Le vénitien sort un dé 8 -2 (montagne) = 10% donc 1 perte turque. A l’issu de ce premier jour de combat, le vénitien décide d’abandonner le siège de Preveza et rejoint la province de RAGUSA après un dé 10 -2 (mouvement du général vénitien) en colonne 7 de la Table de risque et des mouvements (cellule Z78 de la Fiche militaire) soit 60% ! Le vénitien se prend les pieds dans ses chausses et perd 6 infanteries… Le général turc est quant à lui blessé pour 5 rounds.

Total des pertes de la bataille de Sköder : 7 dont 6 vénitiennes. Victoire turque, défaite vénitienne. 1 point de situation militaire pour la TURQUIE.

Le détroit libre, la pile du pacha Turgut se place en BULGARIA. 5 PM.

En Egypte, la pile du pacha Bahaman abandonne la couverture de la forteresse d’Akkaba et se porte sur ALEPPO par SAMARIA, JUDEA et SYRIA. 4 PM.

 

 

Le doge Loredano se dit que la guerre terrestre ce n’est pas la force la plus éclatante de la République de Venise, surtout face au rouleau compresseur ottoman. Il serait temps que cette phase militaire s’arrête car cela commence à sentir la sauce tomate brûlée… Campagne passive, 10 Ducats. Grimani pense qu’en matière navale, la République thalassocratique peut encore faire mal et se transporte derechef en Sea of Marmara pour rencontrer Barberousse.

Le DN en blocus sur Preveza rejoint l’East Mediterean Sea pour s’amalgamer au DN resté sur place sur un dé 1 à l’usure navale en colonne 5-3 : rien. Grimani quant à lui quitte la même mer pour Sea of Marmara sur un dé 6-4 (sa valeur de mouvement) +1 (mer traversée de même niveau après la première) = 3 en colonne 4 : rien.

Bref, les deux Flottes (+) se retrouvent face à face et si Barberousse désirait s’enfuir, c’est raté sur un dé 3+1 (différentiel positif de manœuvre des amiraux). En ce 5 juillet 1513, c’est la quatrième bataille navale des détroits qui débute ! Grimani est bien décidé à laver l’affront de Preveza et entame le bombardement par un superbe dé 1… face à un dé 5 de Barberousse en colonne E qui ne donne rien. A l’abordage pas de résultat, la mer, trop agitée empêche les galères d’aborder leurs homologues.

Grimani choisit de continuer sur un deuxième jour cette troisième bataille des détroits, tandis que Barberousse décide de retraiter vers le port ami le plus proche, la disproportion des forces l’inquiète et il ne veut pas risquer ses précieux navires, maintenant que le gros des forces terrestres a repassé en Europe. Il se porte sur Constantinople sur un dé 7-5 en colonne 1, pas d’usure navale.

Bilan de la quatrième bataille des détroits : aucune perte. Victoire vénitienne, défaite turque. 1 point de situation militaire pour la TURQUIE. 

J’ai décidé de mettre en vert le bilan des batailles, afin de faciliter le calcul de la situation militaire de chacun des joueurs en cellule C67 de la Fiche militaire. Regardez ça et reportez-vous aussi à la Fiche paix, pour le calcul du Différentiel de Stabilité et de Situation Militaire (DSSM) en vue des négociations de paix.

 

Une campagne simple de 20 Ductas pour l’ESPAGNE.

En Europe, Pinzon et la Flotte (-) et le Détachement Naval sortent de Cadix et se portent en Bay of Bicaye puis entrent en Méditerranée par WGulf of Lion afin d’y chasser les barbaresques. Un dé 3 est lacé sur la Table de risque des mouvements en colonne +1+1 (mer traversée de même niveau) -5 (valeur de mouvement de Pinzon) en colonne 5-3 (port ami dans chaque mer) soit rien.

Les chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem récupère quelques galères, réparées à Rhodes.

En Amérique, Ojeda prend un DT et attaque les autochtones survivants dans la province Ouest de la région ECUADOR. Les deux sont en « conscrits », mais la technologie n’est pas la même, « Tercios » pour les uns, « Médiéval » pour les autres. Pas de feu, nous avons des DT sans artillerie donc, au choc, Ojeda sort un dé 3 -2 (forêt) en colonne A soit rien. Les amérindiens répliquent par un dé 8 en colonne B -2 (forêt) = 10% : 1 perte espagnole.

Ojeda continue sur un second jour de bataille, un dé 4 -2 (forêt) sort : rien contre un dé 9 pour les indigènes -2 (forêt) en colonne B : 10%* = 1 perte espagnole et un moral qui passe à 2.

Ojeda se lasse et quand il se lasse il devient irascible, un dé 9 sort -2 (forêt) en colonne A soit 15%* : les amérindiens explosent. Un dé 9 indigène (-2) en colonne B donne un 10%* à nouveau soit un moral espagnol qui passe à 1 et 1 perte. Ojeda est blessé au test de blessure des généraux (cellule AI104 de la Fiche militaire) pour 4 rounds ! Ce dernier est placé sur la piste des rounds de la carte.

Leon à LA PLATA embarque avec le DN et quitte la région pour Sea of Bahia, Sea of Recife, Sea of Natal et Winwards Islands pour rentrer aux ANTILLES. Un amiral de remplacement 3.3.2 est tiré et un dé 9 lancé pour l’usure navale -3 (mouvement du remplaçant) +1 +1 (mers traversées) en colonne 6 = 50% des navires sont perdus. Attention à la capacité de transport qui risque d’entraîner des pertes sur le DT transporté et comme d’habitude le premier navire est perdu, le second récupéré au round 6, le troisième au Tour 6, le quatrième perdu…

Enfin, en CAPE HORN, le navigateur ?2 se lance dans la découverte de plusieurs mers : Coast of Chile, de Coast of Peru et Gulf of Panama en un coup ! Un dé 7 sort +2 (cercle vert) +2 (mers traversées en plus de la première) -5 (mouvement du navigateur) = 6 soit « ½ » et 50% d’usure navale. Un dé doit être relancé : 10 ! Succès ! La grosse moule d’espagnole ou plutôt le gros pousse-pied de Cantabrie ! Un point jaune est placé sur les trois mers. Que l’espagnol enlève ses pertes navales comme d’habitude : 1/3 1/3 1/3.

Un dé 6 est lancé sur la Table de lutte contre les pirates, corsaires et indigènes +2 +2 +1 +5 -3 -3 = 10. Un corsaire (-) barbaresque algérien est éliminé.

Un dé 8 sort, donc nous passons au sixième round.

 

Sixième round (151 ?) :

    

Sigismond ne fait rien, mais son cousin d’amour Vladislav III de HONGRIE, ayant une campagne simple gratuite décide d’envoyer sa pile de SERBIA au KOSSOVO. Le pacha Turgut en BULGARIA tente l’interception sur un dé 8 +1 (province amie) = 9 soit succès de ladite interception. Les hongrois optent pour la tactique « attaque en échelon », en technologie « Médiéval » en moral vétéran. Le pacha Turgut choisit « Contre-attaque » la technologie ottomane est « Renaissance » et la pile est en moral « conscrit ». Les hongrois optent pour la tactique « attaque en échelon », en technologie « Médiéval » en moral vétéran. La bataille de Pristina en ce 7 juillet 151 ? se déroulera avec un +1 tactique pour les hongrois. Moral 2 de chaque côté donc.

En l’absence d’artillerie des deux côtés, les magyars entament le bal du choc par un dé 5 +1 (tactique) +2 (différentiel positif de la valeur de choc des généraux) -2 (forêt) en colonne B = 10% des 72 PF soit 8 pertes turques. Turgut réplique par un dé 2 -2 (forêt) = rien.

Turgut réfléchit à rester un second jour, le hongrois décide de rester. Il décide prudemment de retraiter sur un dé 3 -4 (mouvement de Turgut) en ALBANIA.

Total des pertes de la bataille de Pristina : 8 pertes turques. Victoire polonaise et défaite turque. 1 point de situation militaire pour la POLOGNE.

L’Armée (-) turque en ALBANIA ne bouge pas et ne tente pas l’interception.

 

Le roi Manoel Ier ne bouge pas. Aucune pile n’a le droit de se déplacer ce round. Le bon roi du Portugal a décrété ce round férié.

 

Rien pour Vassili III.

 

Rien pour Henri VIII.

 

Louis XII donne l’ordre à Bayard de continuer le siège de Milan et une campagne simple de 20 Ducats.

L’Armée (+) en LANGUEDOC se scinde en deux Armées (-), l’une reste sur place et l’autre se porte en DAUPHINE.

Louis XII quitte Lyon pour Milan, il prend ainsi le commandement de la pile et décide d’exploiter la brèche. Un dé 2 sort -3 (forteresse) -1 (valeur de siège du général Habsbourg 4 ? présent) +2 (brèche) +3 (usure « + ») +1 (artillerie) +1 (valeur de siège du général français présent) +1 valeur de siège de Louis XII) = usure (-). Le roi de France sort un dé 1 au feu, soi rien. Les défenseurs espagnols réagissent par un dé 2, idem. Louis XII lance donc l’assaut, un dé 8 sort +3 (différentiel positif de la valeur de choc entre Louis XII et le général Habsbourg 4 ?) en colonne B = 25%** des 34 PF français : 9 pertes pour la forteresse espagnole et un moral qui passe à 1. Ces derniers répliquent par un dé 7 en colonne A = 15%* des 15 PF (60 divisé par 4 à cause de la brèche) : 3 pertes françaises et un moral qui passe à 2.

Un second jour est décidé par Louis XII, il essaye d’ajuster au mieux les canons de siège qui tirent à toute volée, un dé 5 sort +3 (Louis XII) en colonne C = 10%* des 8 PF soit une perte pour la forteresse milanaise et un moral qui passe à 0. Les espagnoles répliquent par un dé 5 en colonne A = 5% soit une perte française. Au choc, Louis XII harangue sa troupe et repart à l’assaut sur un dé 7 +3 en colonne B = 25%** des 30PF français : 7 pertes espagnoles et un moral qui passe en négatif. Les ibérique sortent un dé 8 en colonne A : 20%* des 5 PF restants = 1 perte française et un moral qui passe à 0.

La forteresse de Milan cède après cinq rounds de siège en ce 10 juillet 151 ?. La présence du roi de France a semble-t-il galvanisé la troupe et la valeur militaire du roi a pesé de tout son poids lors de cet assaut, Louis XII est acclamé par la soldatesque française qui se répend dans la capitale lombarde. Cordoba, blessé dans Milan, est capturé par les français. Le général Habsbourg est retiré (un autre sera tiré en remplacement). Le pion forteresse de niveau 3 est détruit, tandis que le français enlève 2 points d’infanterie pour la garnison de Milan. La province de MILANO est donc contrôlée par les français, un drapeau du royaume de France est posé sur la province espagnole.

Prise de Milan : 1 point de situation militaire acquis et 1 point pour Cordoba, soit 2 points (Cf Tableau en C67 de la Fiche militaire) pour la FRANCE.

 

Bayezid II décrète une campagne simple. 20 Ducats.

Le Khan de Crimée Mehmed Ier Giray qui bénéficie d’une campagne simple gratuite par round en tant que mineur, fonce sur le roi de POLOGNE en région DONETSK. Sigismond décide de se réfugier dans la forteresse de Dniepopetrowsk.

La pile du général ottoman 1? traverse le Bug et se porte en BESSARABIA. Le général polonais décide de rester et accepte la bataille du Bug en ce 11 juillet 151 ?. Les turcs sont donc divisés par deux au premier jour de bataille, ils sont en moral conscrit puisqu’un pacha est présent (moral 2) et le choix tactique se porte sur « Assaut par vagues ». Côté polonais, Ostrojowski (général ?4) est en moral conscrit et il choisit la tactique « Contre-attaque » : pas de bonus.  90 000 ottomans foncent sur 60 000 polonais, le choc va être rude ! 4 PM.

Les artilleurs se positionnent et soufflent sur leurs mèches… les turcs sortent un dé 4 +1 (différentiel de la valeur de feu) en colonne C : 5% des 4 PF divisés par deux à cause du fleuve = 1 perte polonaise. Ostrojowski réplique par un magnifique dé 1 grâce à une chaussure qui passait par là : rien. Au choc, les turques sortent un dé 6 en colonne A, ils n’ont pas de bonus de cavalerie car les hussards polonais sont en nombre en face, soit 10% des 72 PF disponibles : 8 pertes polonaises dont 25% de cavalerie car nous sommes dans les plaines d’Ukraine. Les slaves sortent un dé 4 : 5% des 93 PF polonais : 5 pertes turques dont 25% de cavalerie.

Le général polonais décide de retraiter, le turc ne sera plus divisé par deux et cela l’inquiète, il préfère se porter sur la province de VOLHYNIA après un petit dé 1 d’usure -4 (général) -1 (province amie). Un dé

Bilan de la bataille du Bug : 9 pertes polonaises (dont 2 cavaleries), 5 turques (dont 2 cavaleries). Victoire turque, défaite polonaise. 1 point de situation militaire pour la TURQUIE. Que les joueurs enlèvent leurs pertes de leur Fiche militaire.

La Flotte (+) de Barberousse se porte dans les détroits pour en chasser la pile de Grimani qui est bien décidé à résister à un énième combat contre l’amiral turco-algérien. Barberousse sort un dé 1 à l’usure navale, aucunes pertes. Il aborde donc Sea of Marmara pour la cinquième bataille navale des détroits en ce 11 juillet 151 ?. Pas d’avantage du vent, puisque les adversaires sont équipés de galères et s’est donc le phase de feu. Les généraux ayant la même valeur au feu, pas de bonus, la colonne sur la Table de résultat des combats est la E. Barberousse sort un dé 5 soit rien, Grimani idem. La mer est agitée, les artilleurs ont du mal à ajuster les tirs et donc, vient la phase d’abordage. Cette fois, Barberousse possède un +1 et sort un dé 5 à nouveau en colonne A soit 10% des 62 galères et 2 Navires de Transport soit 9 pertes vénitiennes. L’amiral Grimani réplique par un dé 6 soit 10% également des 97 galères et 10 NT soit 12 pertes turques.

Les deux amiraux choisissent de continuer un second jour de bataille, au feu, Barberousse sort un dé 1… tandis que son comparse sort un 5… comme au premier jour, les boulets sortent des bouches à feu mes manquent les cibles en colonne E. A l’abordage, les janissaires de marine ont le couteau entre les dents, ils sortent un dé 8 +1 (valeur d’abordage de Barberousse) = 25%** de 52 PF soit 15 pertes vénitiennes et un moral italien qui passe à 0. Grimani sort un dé 5, soit 5% en colonne A, de ses 98 PF ce qui fait 6 pertes ottomanes supplémentaires.

Grimani et Barberousse, c’est une lutte à mort, les deux amiraux décident d’un troisième jour de bataille. 38 galères et 2 NT turques contre 66 galères et 10 NT vénitiens. Au feu Barberousse sort un dé 7 en colonne E soit 5% des 19 PF (car une galère tire à 0.5 PF) = 3 pertes vénitiennes. Grimani sort un dé 5… rien. A l’abordage, Barberousse repart de plus belle sur un dé 8+1 = 25%** soit 12 pertes vénitiennes et un moral qui passe en négatif, contre un dé 8 à Grimani soit 20%* des 83 PF soit 18 pertes ottomanes et un moral qui passe à 1.

L’amiral Grimani est contraint à la retraite vers Naxos, un dé 5 en colonne E est tiré pour la poursuite qui tape dans le vide, enfin dans l’eau…

Un dé 1 sort pour la blessure de Barberousse, il est blessé 10 rounds ! Un dé 3 sort pour la blessure de Grimani (-1) : rien.

Total des pertes de la cinquième bataille navale des détroits : 36 galères ottomanes et 39 galères vénitiennes. Victoire des turcs, défaite vénitienne. La TURQUIE y gagne un point de situation militaire.

La Flotte ottomane est réduite à 20 galères et 2 NT soit un DN, celle des vénitiens à 58 galères et 10 NT.

Le détroit est libéré de la présence italienne, mais à quel prix… en tout cas, le passage est libre pour la pile du pacha Bahaman qui quitte ALEPPO pour ADANA, CILICIA, NICEA, THRACIA et MACEDONIA pour 10 PM. Un dé 6 sort pour l’usure -4 (valeur de mouvement du pacha Bahaman) en colonne 7 = * un dé est relancé et un 7 -4 sort soit 10% d’usure. Que le turc enlève ses pertes de la pile de Bahaman.

Un dé 4 est lancé pour le siège de Dniepopetrovsk -1 (forteresse) +1 (DT réfugié) +2 (Armée réfugiée) = 6 soit « usure (-) ». Pas d’usure pour les assiégeants sur un dé 4 en colonne 1 mais 30% de pertes dues à l’usure des unités réfugiées. Le polonais enlève 30% des effectifs de la pile réfugiée à Dniepopetrovsk.

Un dé 9 sort pour l’ouverture des tranchées sur Odessa -3 (forteresse) -2 (port sans blocus) -2 (terrain) = 3 soit rien. Un dé 10 sort pour l’usure des unités assiégeantes en colonne 1 : 20% de pertes. Que Bayezid élimine 20% des effectifs de sa pile en BESSARABIA. Cela ne commence pas si bien pour les ottomans à Odessa…

 

Le doge Loredano décide d’une campagne passive. 10 Ducats.

L’armée de terre vénitienne rétrograde vers la province d’ILLYRIA. 3 PM.

En mer, l’amiral Antonio Grimani décide de se porter sur les détroits afin de « terminer » le DN turc en Sea of Marmara. Un dé 1-4 (mouvement de Grimani) +1 en colonne 4 pour l’usure navale : rien. Pas d’usure. Le turc sort un dé 10 pour le choix du général remplaçant, soit un 4.2.1. Un dé 10 ensuite pour la retraite avant combat : c’est réussi ! Le DN turc se porte sur Constantinople après un dé 4 à l’usure +1 (mer traversée) -4 (mouvement de l’amiral remplaçant) en colonne 4 = rien.

Un dé 3 d’usure en Eastern Mediterean sea est lancé pour le DN en mer -2 en colonne 1 : rien.

Correction : sur le siège d’Odessa par le turc, un -2 de terrain a été comptabilisé par erreur, la BESSARABIA est une plaine… donc, cela donne 5 au siège soit une « usure (-) ». L’usure reste inchangée.

 

 

Campagne passive pour Ferdinand d’ESPAGNE. 10 Ducats.

En Europe, rien. Aux Amériques, Balboa va chercher le DT sur la côte d’ECUADOR, un dé 3 sort -4 (mouvement de Balboa) soit pas d’usure, et l’empile avec l’Armée (+) sur la mine d’or au Sud de la région.

L’amiral de remplacement quitte le jeu, car Solis est revenu de blessure Le DN part des ANTILLES et se porte sur Carthagena en ORENOQUE, y débarquant le DT en soute. Un dé 9 sort pour l’usure navale -4 (valeur de mouvement du remplaçant) +1 (mer traversée en plus) en colonne 6-3 = rien.

Le navigateur 2 ? tente la découverte du North-Eastern Pacific Ocean sur un dé 3 -5 = « S » succès, un point jaune espagnol est ajouté à côté du point chair (portugais).

Correction : un dé 9 sort pour la lutte contre les corsaires en Gulf of Lion +1+2+2+2-3-1 : un corsaire (-) tunisien d’éliminé.

 

Un dé 4 sort, la phase militaire est terminée.

 

Phase de redéploiement :

 

Prospérité :

La prospérité est calculée sur une progression constante du revenu brut (cellules E35, F35, G35 de la Fiche budget) en N, N-1 et N-2. Les joueurs communiquent donc cette information à l’arbitre qui actualise la Stabilité en conséquence. Si ce budget est en baisse constante, un niveau de Stabilité sera perdu.

La FRANCE reste au niveau 2, tandis que l’ESPAGNE reste au niveau 3. VENISE baisse d’un niveau et passe en case 0. Le PORTUGAL reste au niveau 3. La TURQUIE reste à 0. La POLOGNE voit sa Stabilité baisser d’un niveau, passant à 0. La RUSSIE baisse également d’un niveau, se retrouvant à 0 et l’ANGLETERRE ne bouge pas.

Pillage :

SAMARIA, JUDEA EGYPT, SYRIA, ALEPPO, DONETSK et BESSARABIA sont pillées par les ottomans, soit 72 Ducats pour le sultan.Si vous pillez, vous ajoutez le double du chiffre figurant sur la province pillée (revenu) en cellule G49 de votre Fiche budget.

Le hongrois pille la province de KOSSOVO. Le polonais ajoute 6 Ducats en G49 de sa Fiche budget et l’ottoman retranche 3 ducats en H17 du Tour 6 de sa Fiche budget.

Que le joueur polonais note le pillage de la BESSARABIA et DONETSK en H17 du Tour 6 (-10 Ducats) de sa Fiche budget.

Attaque des pirates et corsaires :

En ZP Turkyie un dé 4 et un dé 1 sortent -3+4 +1 = 6, soit 6 niveaux de flotte de commerce turque. Le turc peut remplacer les pertes de niveaux par 3 galères pour un niveau présent dans la mer (il a un DN sur place), toutefois ce n’est pas le cas, donc Bayezid perd sa flotte de commerce.

Les niveaux de flottes de commerce perdus face aux chevaliers peuvent être récupéré, ceux perdus face au corsaire vénitien le sont définitivement, ce qui est le dernier cas ici. Venise gagne 8 Ducats. A noter dans sa fiche budget, en cellule G49.

En ZM Gulf of Lyon un dé 1 et un dé 5 sortent pour les barbaresques +1 +2 +2 +2 -1 -1 = 11 soit 3 niveaux de flotte de commerce perdus dans cette ZM ! L’Espagne peux prendre sur ses galères l’équivalent de 2 niveaux (6 galères), ce qu’il fait. Que Ferdinand enlève ses pertes de sa flotte. La Hollande perd 1 niveaux aussi puisqu’un accord a été passé entre l’empire ottoman et le royaume de France, garantissant les pavillons des commerçants français et génois. Le hollandais n’ayant pas de navires de guerre sur place, il perd les niveaux qui sont cependant récupérables au Tour 6. Les niveaux seront récupérés à raison d’un par tour concernant les pertes des corsaires barbaresques et des chevaliers, notez-le dans votre Feuille de jeu, dans l’onglet des Tours à côté des flottes de commerce (cellule J25). La Turquie gagne 6 Ducats dans son Trésor Royal en cellule G49 de la Fiche budget.

Extension des révoltes :

A MALAYA, la présence d’une armée portugaise sur place n’est pas du goût des autochtone, deux dés totalisant un 9 sortent +3 (Armée (+)) +6 (Da Gama) -1 (indigènes) -1 (comptoir) sont lancés sur la Table des attaques de pirates, corsaires et indigènes (AM145 de la Fiche militaire) : 16 = 25% de pertes pour les troupes portugaises, mais aucun niveau de comptoir touché. Merci Da Gama, sa présence fait la différence. Que le joueur portugais retranche ces pertes de son armée présente à MALAYA dans se Fiche militaire.

Note : attention donc aux piles outre-mer en présence d’indigènes, cela peut vite devenir problématique, d’autant qu’en Afrique et en Asie, les indigènes ne sont pas définitivement éliminés comme en Amérique et qu’ils reviennent à plein, à chaque tour.

Levée des sièges et usures :

Nish doit être évacuée, car la pile du roi de Hongrie n’a que couvert la capitale du KOSSOVO. Une usure est calculée sur un dé 4 -4 (valeur de mouvement du général) en colonne 7 : rien. La pile hongroise retourne donc en SERBIA.

Idem pour Dniepopetrovsk en DONETSK, sur un dé 4 -5 (valeur de mouvement du Khan) = rien. Le Khan retourne en CRIMEA.

En BESSARABIA, le général ottoman ?1 doit également lever le siège d’Odessa. Un dé 10 sort -2 (valeur de mouvement du général) -1 (province traversée amie) en colonne 7 = 50% d’usure ! Que le joueur turc (il va me maudire) enlève les pertes de sa fiche militaire concernant cette pile. Le reste de la pile ottomane revient en BUG.

Usure des assiégeants :

Rien.

Retour des unités navales au port et usure :

Hormis les piles commandées par des navigateurs, les autres se trouvant en mer doivent regagner le port ami le plus proche : Grimani en Sea of Marmara retourne à Naxos sur un dé 5 +3 -4 en colonne 4 = rien.

L’amiral 1 ? vénitien rejoint Famagouste en CYPRUS sur un dé 1-2 (mouvement de l’amiral) en colonne 1 : rien.

Idem pour la Flotte (-) espagnole sur un dé 6-2 (mouvement de l’amiral) en colonne 2. Elle rejoint Naples en NAPOLI.

Pinzon sort un dé 4-5+1 en colonne 1 : rien. Il rejoint Barcelone en CATALUNYA, le DN rejoint aussi Barcelone et pas Cadix car il faut aller au port le plus proche (au choix si, dans la même mer).

 

Attention, modification de la Fiche militaire : vous remplacez le contenu de la cellule AG167 par l’intitulé qui suit :

 (-?) par la valeur de siège des généraux présents

 

 

Phase de Paix :

 

Les Stabilités nationales avant les mises sont :

POLOGNE : 0

PORTUGAL : 3

RUSSIE : 0

ANGLETERRE : 3

FRANCE : 2

TURQUIE : 0

VENISE : 0

ESPAGNE : 3

 

Mises sur la Stabilité et résultats :

Les états misent (ou pas) pour remonter leur Stabilité avant les négociations de paix, il leur convient de consulter la Table d’amélioration de la Stabilité du Tour 5, en cellule N119 pour avoir une idée de leurs chances d’influer celle-ci (attention, elle est susceptible de baisser en cas de mauvais résultat). Leur choix fait, les joueurs remplissent ladite Table du Tour 5 et je leur communique le dé qui est sorti, il le note en cellule P123 « évènement » et me donnent le résultat.

Sigismond de POLOGNE s’abstient, il préfère économiser car le budget du royaume des Jagellon est serré. L’ESPAGNE de Ferdinand étant au niveau maximum, elle ne mise pas, tout comme son voisin lusitanien Manoel Ier du PORTUGAL et Henri VIII pour l’ANGLETERRE. Vassili III mise et augmente sa Stabilité de deux niveaux ! Louis XII décide de jouer gros, il veut être en position favorable pour les négociations de paix et cela réussit, la FRANCE gagne un niveau et passe en case 3.

La TURQUIE mise gros, le sultan Bayezid veut être en position de force pour les négociations à venir, il récupère un niveau et passe en case 1. Le doge Loredano prend le risque, car sur un dé 2 il perd un niveau, sur un 8 il en gagne 1 : il sort un dé 3, il n’obtient rien pour VENISE, la situation de la République est délicate.

 

Stabilité avant les négociations :

POLOGNE : 0

PORTUGAL : 3

RUSSIE : 2

ANGLETERRE : 3

FRANCE : 3

TURQUIE : 1

VENISE : 0

ESPAGNE : 3

Les paix sont possibles sous deux formes : informelles et formelles. Les premières n’entraînent aucun gain de Points de Victoire contrairement aux secondes. Les premières sont libres mais ne peuvent concerner un échange/cession de province, tandis que les secondes sont gérées par un DSSM (Différentiel de Stabilité et de Situation Militaire) stricte.

La FRANCE est à même de revendiquer une Paix formelle de niveau 3 contre l’ESPAGNE, la POLOGNE tout comme VENISE ne peuvent revendiquer qu’une Paix formelle de niveau 0 ou « Paix Blanche » contre la TURQUIE, tandis que la RUSSIE est à même de revendiquer une Paix formelle de niveau 2.

L’Alliance du Griffon, et son représentant polonais dans l’ordre d’initiative, propose une Paix formelle de niveau 0 au Sultan Bayezid, dite « Paix Blanche ».

 

Le sultan Bayezid II acceptant la proposition de Sigismond Ier, le Traité de Brest-Litovsk (pour les alliés), aussi dit Traité du Griffon déplumé (pour la Sublime Porte) est ratifié par Vassili III et le doge Loredano, puis signé en ce 18 juillet 1514.

La POLOGNE, La RUSSIE, la TURQUIE et VENISE voient leur Stabilité remonter d’un niveau immédiatement, soit :

POLOGNE : 1

RUSSIE : 3

TURQUIE : 2

VENISE : 1

L’Armée (+) hongroise évacue Belgrade et la province de SERBIA est récupérée par les turques.

   

Al Mutamsik est contrait à une paix inconditionnelle. Le califat mameluk est annexé à l’empire ottoman suite à la règle spéciale (que je vous renvoie pour information). La TURQUIE ne récupère pas une nouvelle Stabilité, cette dernière reste donc au niveau 2. Les provinces mameloukes deviennent ottomanes et le Centre de commerce « Grand Orient » est éliminé, transféré à Smyrne, remplacé par le « Convoi de Smyrne ».

 

Le royaume de FRANCE et le royaume d’ESPAGNE signent une Paix formelle de niveau 0 contre la promesse d’une Alliance Dynastique entre les deux royaumes avec la province de MILANO et 100 ducats de dot, à la phase diplomatique du Tour 6 (1515/1519). Le « père du peuple » a choisi la conciliation et la confiance chrétienne à l’issue de cette Guerre d’Italie.

 

 

Interphase :

Mort et placement des chefs :

Le conquistador portugais Da Gama nous quitte, tout comme le général turc Ibrahim. Le navigateur français Verrazzano quitte également le jeu.

Le conquistador espagnol Cordova apparaît, ainsi que le navigateur de la même nation Magellan et le conquistador portugais Albuquerque, l’amiral turc Adnan et le général hongrois Louis.

Inflation :

Rien.

Calcul des Points de Victoire :

Tour 4 :

  1. Venise : 46 PV
  2. Portugal : 29 PV
  3. France : 17 PV
  4. Turquie : 15 PV
  5. Espagne et Angleterre : 12 PV
  6. Russie : 9 PV
  7. Pologne : 7 PV

 

La POLOGNE gagne 1 PV de Stabilité. Le PORTUGAL touche 3 PV de Stabilité ainsi que 6 PV de monopole sur les ressources exotiques Peaux et Produits d’Orient. La RUSSIE touche 2 PV de Stabilité. L’ANGLETERRE 3 PV de Stabilité. La FRANCE 3 PV de Stabilité. La TURQUIE gagne 2 PV de Stabilité et 10 PV pour sa victoire inconditionnelle face au Mamelouks. VENISE touche 14 PV des monopoles de flottes de commerce (dont 6 de monopole total et 8 de monopole partiel) plus 1 PV de Stabilité. L’ESPAGNE gagne 3 PV de Stabilité.

  1. Venise : 61 PV
  2. Portugal : 38 PV
  3. France : 20 PV
  4. Turquie : 17 PV
  5. Espagne et Angleterre : 15 PV
  6. Russie : 11 PV
  7. Pologne : 8 PV

 

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Commentaires
P
La Turquie ne gagne pas 10 PV pour le gain de la paix inconditionnelle, elle en gagnera à la fin de la période, d'où les 17 PV totaux, c'est une erreur.
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Les figurines du Prince Fafa
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